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dimanche 29 mars 2015

Pour ne rien rater de mon 1er Trimestre 2015



Voila un petit article afin de remettre en avant les lectures qui m'ont chamboulé pour ce premier trimestre ! Peut-être, êtes vous passé à côté d'une chronique et cela serait fort dommage.

Donc pour résumer, sur mes 29 lectures depuis le 1er janvier, on retrouve 6 coups de cœur. Allez un petit rappel s'impose :)

Seul les vautours 


Monsieur Zeimet, cet auteur qui a le pouvoir de faire danser les mots afin de nous immerger dans son univers.

La chronique c'est par là !

Un petit village de l’Utah en 1985, avant internet, la téléphonie mobile et les techniques modernes d’investigation scientifique. Shawna, une fillette de cinq ans, disparaît brutalement un matin. Tout le village se mobilise. Non seulement les quelques policiers du poste local mais aussi le médecin, un journaliste et bien sûr les enfants. Des enfants et des adolescents qui ont l’imagination fertile et qui racontent d’étranges histoires. En suivant les destins croisés d’une dizaine de personnages, l’enquête progresse, les haines et les attirances se cristallisent alors que des découvertes bien réelles mènent à des événements qu’on croyait définitivement sortis des mémoires. Certains, en tous cas, auraient bien voulu les oublier…


L'atelier des miracles


 une plume très agréable à lire, légère presque aérienne .

La chronique c'est par là !

Prof d’histoire-géo mariée à un politicien narcissique, Mariette est au bout du rouleau. Une provocation de trop et elle craque, envoyant valser un élève dans l’escalier. Mariette a franchi la ligne rouge.
Millie, jeune secrétaire intérimaire, vit dans une solitude monacale. Mais un soir, son immeuble brûle. Elle tourne le dos aux flammes se jette dans le vide. Déserteur de l’armée, Monsieur Mike a fait de la rue son foyer. Installé tranquillement sous un porche, il ne s’attendait pas à ce que, ce matin, le « farfadet » et sa bande le passent à tabac.
Au moment où Mariette, Millie et Mike heurtent le mur de leur existence, un homme providentiel surgit et leur tend la main – Jean, qui accueille dans son Atelier les âmes cassées, et dont on dit qu’il fait des miracles.
Mais peut-on vraiment se reconstruire sans affronter ses fantômes ? Avancer en se mentant et en mentant aux autres ? Ensemble, les locataires de l’Atelier vont devoir accepter leur part d’ombre, tandis que le mystérieux Jean tire les ficelles d’un jeu de plus en plus dangereux.

Code 93 


un très bon Thriller, pas trop gore, qui vous tient bien en haleine

La chronique est par là !

Coste est capitaine de police au groupe crime du SDPJ 93. Depuis quinze ans, il a choisi de travailler en banlieue et de naviguer au cœur de la violence banalisée et des crimes gratuits. Une série de découvertes étranges – un mort qui ouvre les yeux à la morgue, un toxico qui périt par autocombustion – l’incite à penser que son enquête, cette fois-ci, va dépasser le cadre des affaires habituelles du 9-3. Et les lettres anonymes qui lui sont adressées personnellement vont le guider vers des sphères autrement plus dangereuses… Écrit par un lieutenant de police, 93 Code zéro se singularise par une authenticité qui doit tout à l’expérience de son auteur ; cette plongée dans un monde où se côtoient aménagement urbain et manipulations criminelles au sein des milieux politiques et financiers nous laisse médusés.


Charlotte


Un roman plus intimiste et je dirais presque plus près du cœur.

La chronique par ici ..

Ce roman retrace la vie de Charlotte Salomon, artiste peintre morte à vingt-six ans alors qu'elle était enceinte. Après une enfance à Berlin marquée par une tragédie familiale, Charlotte est exclue progressivement par les nazis de toutes les sphères de la société allemande. Elle vit une passion amoureuse fondatrice, avant de devoir tout quitter pour se réfugier en France. Exilée, elle entreprend la composition d'une œuvre picturale autobiographique d'une modernité fascinante. Se sachant en danger, elle confie ses dessins à son médecin en lui disant: "C'est toute ma vie." Portrait saisissant d'une femme exceptionnelle, évocation d'un destin tragique, Charlotte est aussi le récit d'une quête. Celle d'un écrivain hanté par une artiste, et qui part à sa recherche.


Ravensbrück mon amour

Je tire mon chapeau à cet auteur qui du haut de ses Quarante ans (facile je suis née la même année) a su nous parler comme un rescapé.

L'article est ici !

Gunther, jeune artiste allemand enrôlé de force au moment de la construction du camp de Ravensbrück, en devient l’illustrateur officiel, obligé de mettre son talent de dessinateur au service des autorités nazies Rien n’échappe au crayon affûté du jeune homme : l’horreur des camps, les expériences médicales, les kommandos, les mœurs des officiers, la vie, la mort. Dans ce roman noir, Stanislas Petrosky pénètre au cœur de Ravensbrück et en décrit implacablement chaque recoin, afin de ne jamais oublier.


Territoires


Monsieur Norek fait parti des grands auteurs contemporain dans la catégorie 
Policier !

RDV là pour plus d'info 

Depuis la dernière enquête du capitaine Victor Coste, le calme semble être revenu au SDPJ 93. Son équipe, de plus en plus soudée, n'aura cependant pas le temps d'en profiter. L'exécution sommaire, en une semaine, des trois jeunes caïds locaux de la drogue va tous les entraîner dans une guerre aussi violente qu'incompréhensible. Des pains de cocaïne planqués chez des retraités, un ado de 13 ans chef de bande psychopathe, des milices occultes recrutées dans des clubs de boxe financés par la municipalité, un adjoint au maire torturé, retrouvé mort dans son appartement, la fille d'un élu qui se fait tirer dessus à la sortie de l'école... Coste va avoir affaire à une armée de voyous sans pitié : tous hors la loi, tous coupables, sans doute, de fomenter une véritable révolution. Mais qui sont les responsables de ce carnage qui, bientôt, mettra la ville à feu et à sang ? Avec son deuxième polar admirablement maîtrisé, Olivier Norek nous plonge dans une série de drames – forcément humains – où seul l'humour des " flics " permet de reprendre son souffle. Un imbroglio de stratégies criminelles, loin d'être aussi fictives que l'on croit, dans un monde opaque où les assassins eux-mêmes sont manipulés.


samedi 28 mars 2015

Territoires - Olivier Norek

Quatrième de couverture : 

Depuis la dernière enquête du capitaine Victor Coste, le calme semble être revenu au SDPJ 93. Son équipe, de plus en plus soudée, n'aura cependant pas le temps d'en profiter. L'exécution sommaire, en une semaine, des trois jeunes caïds locaux de la drogue va tous les entraîner dans une guerre aussi violente qu'incompréhensible. Des pains de cocaïne planqués chez des retraités, un ado de 13 ans chef de bande psychopathe, des milices occultes recrutées dans des clubs de boxe financés par la municipalité, un adjoint au maire torturé, retrouvé mort dans son appartement, la fille d'un élu qui se fait tirer dessus à la sortie de l'école... Coste va avoir affaire à une armée de voyous sans pitié : tous hors la loi, tous coupables, sans doute, de fomenter une véritable révolution. Mais qui sont les responsables de ce carnage qui, bientôt, mettra la ville à feu et à sang ? Avec son deuxième polar admirablement maîtrisé, Olivier Norek nous plonge dans une série de drames – forcément humains – où seul l'humour des " flics " permet de reprendre son souffle. Un imbroglio de stratégies criminelles, loin d'être aussi fictives que l'on croit, dans un monde opaque où les assassins eux-mêmes sont manipulés. 

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Palmarès de l'AUTEUR:

Olivier Norek est lieutenant de police à la section Enquête et Recherche de la Sous-Direction de la Police Judiciaire (SDPJ) en Seine Saint-Denis (93).

Après deux ans dans l'humanitaire, il devient gardien de la paix à Aubervilliers, puis rejoint la PJ au service financier puis au groupe de nuit chargé des braquages, homicides et agressions.

Après avoir réussi le concours de lieutenant, il choisit Bobigny au sein du SDPJ 93, à la section enquêtes et recherches (agressions sexuelles, enlèvement avec demande de rançon, cambriolage impliquant un coffre-fort…).

Code 93 (2013) est son premier livre. Ma chronique ici
Suivi de Territoires (la suite de code 93)


Et n'oubliez pas de faire un tour par l'interview de l'auteur

vendredi 27 mars 2015

Le testament caché - Sebastian Barry

Quatrième de couverture : 

Roseanne McNulty a cent ans ou, du moins, c’est ce qu’elle croit, elle ne sait plus très bien. Elle a passé plus de la moitié de sa vie dans l’institution psychiatrique de Roscommon, où elle écrit en cachette l’histoire de sa jeunesse, lorsqu’elle était encore belle et aimée. L’hôpital est sur le point d’être détruit, et le docteur Grene, son psychiatre, doit évaluer si Roseanne est apte ou non à réintégrer la société. Pour cela, il devra apprendre à la connaître, et revenir sur les raisons obscures de son internement. Au fil de leurs entretiens, et à travers la lecture de leurs journaux respectifs, le lecteur est plongé au cœur de l’histoire secrète de Roseanne, dont il découvrira les terribles intrications avec celle de l’Irlande. 
À travers le sort tragique de Roseanne et la figure odieuse d’un prêtre zélé, le père Gaunt, Sebastian Barry livre ici dans un style unique et lumineux un roman mystérieux et entêtant.



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Palmarès de l'AUTEUR:

Sebastian Barry est l'auteur de romans, de plusieurs recueils de poèmes, de nouvelles et de livres pour enfants. 

Un long long chemin a été sélectionné dans la shortlist du Booker Prize 2005.

L’édition 2008 du prix littéraire Costa Book Award, considéré comme l’un des prix les plus prestigieux au Royaume Uni a été décerné à Sebastian Barry pour son roman ‘The Secret Scripture’. 

mercredi 25 mars 2015

Les dieux voyagent toujours incognito - Laurent Gounelle

Quatrième de couverture : 

Imaginez. Un homme vous sauve la vie, en échange de votre engagement de faire tout ce qu'il vous demande... pour votre bien. Le dos au mur, vous acceptez et vous vous retrouvez embarqué dans une incroyable situation où tout semble vous échapper. Vous n'êtes plus le maître de votre vie et pourtant... à bien des égards, elle est plus excitante qu'auparavant!
Mais peu à peu, le doute s'installe en vous : quelles sont les intentions réelles de cet homme qui s'est immiscé dans votre existence? Qui est-il vraiment? Et qui sont ces personnages énigmatiques dans son entourage? Les découvertes que vous faites n'ont rien pour vous rassurer.
Cette histoire, qui nous plonge dans l'atmosphère envoûtante d'un été parisien, ouvre la voie de la plus belle des réflexions sur nous-mêmes: qu'est-ce qui peut nous permettre de dépasser nos inhibitions, nos peurs et nos conditionnements, pour sortir du chemin tout tracé de notre vie lorsque celle-ci ne nous apporte pas pleinement satisfaction?


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Palmarès de l'AUTEUR:

Laurent Gounelle est né en 1966.
Après être diplômé en sciences économiques, avoir suivi des formations aux Etats-Unis, en Europe et en Asie en psychologie et  philosophie, il va devenir consultant en relation humaine pendant une quinzaine d'année.

En 2006, il prend la plume pour écrire son premier roman."L'homme qui voulait être heureux" est publié en 2008 et devient un best-seller mondial, traduit en 25 langues, n°1 des ventes en France.


En 2010, Laurent Gounelle publie « Les dieux voyagent toujours incognito » . Il sera vite en tête des meilleurs vente en France, Espagne et Amérique du Sud. L'adaptation cinéma est en cours de préparation.


En 2012, Laurent Gounelle publie "Le philosophe qui n'était pas sage"


Le 02 Octobre est parut "Le jour où j'ai appris à vivre "

lundi 23 mars 2015

Le confident - Hélène Grémillon

Quatrième de couverture : 

Camille vient de perdre sa mère. Parmi les lettres de condoléances, elle découvre un étrange courrier, non signé. Elle croit d'abord à une erreur mais les lettres continuent d'arriver, tissant le roman de deux amours impossibles, de quatre destins brisés. Peu à peu, Camille comprend qu'elle n'est pas étrangère au terrible secret que cette correspondance renferme.

Dans ce premier roman sur fond de Seconde Guerre mondiale, Hélène Grémillon mêle de main de maître récit historique et suspense psychologique.

"Le confident" a obtenu cinq prix littéraires et été traduit en vingt-sept langues.


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Palmarès de l'AUTEUR:

Originaire du Poitou, Hélène Grémillon est née le 8 février 1977.

Elle est titulaire d'une maîtrise de Lettres et un DEA d'Histoire. Elle a travaillé chez Publicis au planning stratégique puis est devenue assistante de programmation et enfin journaliste avant de se consacrer à l'écriture.

Elle est l'épouse de Julien Clerc avec qui elle a eu un fils, Léonard en 2008. 

Son premier roman, "Le Confident", paru en 2010, a été traduit en 27 langues et s'est vendu à plus de 250000 exemplaires. 

jeudi 19 mars 2015

Ces très chers voisins - Eliane Garillon

Quatrième de couverture : 

Pétronille Pignon vient de fêter ses 47 ans. Vieille fille, elle habite seule à Paris, dans un bel appartement du 16e arrondissement. Sa famille ? Des quémandeurs qui n’en veulent qu’à son argent. Ses connaissances ? Des râleurs. Ses voisins ? Des personnes infréquentables.

Bref, le niveau de tolérance de Pétronille Pignon est proche de zéro. Surtout, elle n’a besoin de personne pour se gâcher la vie ! Mais le coup bas est venu d’en haut, c’est-à-dire des chambres de bonnes.

Imaginez que dans son immeuble se sont installés une jeune Américaine et… un Mexicain. Un Mexicain !! Le pire, c’est que ces très chers voisins vont changer la vie de Pétronille, pour son malheur. Ou son bonheur ?


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Palmarès de l'AUTEUR:

Eliane Garillon est une ancienne créatrice publicitaire. Elle s'est désormais reconvertie dans l'écriture et signe là son premier roman.

mardi 17 mars 2015

Ravensbrück mon amour - Stanislas Petrosky

Quatrième de couverture : 

Gunther, jeune artiste allemand enrôlé de force au moment de la construction du camp de Ravensbrück, en devient l’illustrateur officiel, obligé de mettre son talent de dessinateur au service des autorités nazies Rien n’échappe au crayon affûté du jeune homme : l’horreur des camps, les expériences médicales, les kommandos, les mœurs des officiers, la vie, la mort. Dans ce roman noir, Stanislas Petrosky pénètre au cœur de Ravensbrück et en décrit implacablement chaque recoin, afin de ne jamais oublier.


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Palmarès de l'AUTEUR:


Né en 1975 sur les bords du lac Sevan, en Arménie. Stanislas Petrosky quitte son pays à l’âge de dix-sept ans pour rejoindre la France. Il glissera dans une délinquance de plus en plus dure et connaîtra de nombreux démêlés avec la justice.

C’est lors de ses séjours à l’abri du soleil qu’il se découvrira une passion pour l’écriture, sombre de préférence, en commençant par les nouvelles. Ravensbrück mon amour est son premier roman.

samedi 14 mars 2015

1, rue des petits-pas - Nathalie Hug

Quatrième de couverture : 
Lorraine, hiver 1918-1919. Dans un village en ruines à quelques kilomètres du front, une communauté de rescapés s’organise pour que la vie continue.
Louise, seize ans, est recueillie au 1, rue des Petits-Pas par une sage-femme qui va lui transmettre son savoir: accoucher, bien sûr, mais aussi lire et écrire, soigner les maux courants et, enfin, être l’oreille attentive de toutes les confidences. Mais dans ce village ravagé par la guerre et isolé du monde, les légendes nourrissent les peurs, et la haine tient les hommes debout. Ces peurs et cette haine, Louise va devoir les affronter car elle exerce son art dans l’illégalité, élève un enfant qui n’est pas le sien, aime un être qu’elle n’a pas le droit d’aimer, et tente de se reconstruire dans cet univers où horreur et malveillance rivalisent avec solidarité et espoir.


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Palmarès de l'AUTEUR:
Compagne de Jérôme Camut, Nathalie Hug a signé avec lui "Prédation et Stigmate", les deux premiers volets de la trilogie des voies de l'ombre, ainsi que "Les éveillés".
Mars et juin 2004, Jérôme Camut publie les deux premiers tomes de la tétralogie "Malhorne" aux éditions Bragelonne. Nathalie Hug se les procure et, bouleversée par sa lecture, décide de contacter l’auteur. Ils ne se quitteront plus et commencent très vite à écrire ensemble.
Naît ainsi "EspylaCopa", une nouvelle Fantastique publiée dans Fantasy 2006 aux éditions Bragelonne. Puis le thriller "Prédation", premier opus de la trilogie les Voies de l’ombre, aux éditions Télémaque. Depuis leur mariage en 2006, les deux auteurs consacrent leur vie à l’écriture
Les Éditions Calmann-Lévy ont publié "Les Éveillés" en 2008, "3 fois plus loin" en 2009 et "Les Yeux d'Harry" en 2010.
Dans son premier roman solo, "L'enfant-rien", elle a imaginé un personnage naïf et inquiétant, à la voix singulière, aux questionnements bouleversants.
Suivront " La demoiselle des tic-tac" et "1, rue des petits-pas". 
                                        
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vendredi 13 mars 2015

La bibliothèque des cœurs cabossés - Katarina Bivald


Nouvelle expérience pour ce blog ...une fois par mois, vous aurez un regard croisé de la lecture d'un roman ! Entre un invité et moi-même. Attention, c'est parti ...

                                        Quatrième de couverture : 

Tout commence par les lettres que s’envoient deux femmes très différentes : Sara Lindqvist, vingt-huit ans, petit rat de bibliothèque mal dans sa peau, vivant à Haninge en Suède, et Amy Harris, soixante-cinq ans, vieille dame cultivée et solitaire, de Broken Wheel, dans l'Iowa. Après deux ans d’échanges et de conseils à la fois sur la littérature et sur la vie, Sara décide de rendre visite à Amy. Mais, quand elle arrive là-bas, elle apprend avec stupeur qu’Amy est morte. Elle se retrouve seule et perdue dans cette étrange petite ville américaine.
Pour la première fois de sa vie, Sara se fait de vrais amis – et pas uniquement les personnages de ses romans préférés –, qui l'aident à monter une librairie avec tous les livres qu’Amy affectionnait tant. Ce sera pour Sara, et pour les habitants attachants et loufoques de Broken Wheel, une véritable renaissance.
Et lorsque son visa de trois mois expire, ses nouveaux amis ont une idée géniale et complètement folle pour la faire rester à Broken                                                                     Wheel… 



Si on se présentait.....

C : Céline, enseignante/cuisinière/blogueuse. Après 14 ans, j'ai quitté ma ptite vie parisienne pour m'installer dans l'Aisne dans une belle maison. Les voyages en train rythment désormais ma vie professionnelle et m'offre de belles heures de lecture.


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mercredi 11 mars 2015

Ancien malade des hôpitaux de Paris - Daniel Pennac

 Quatrième de couverture : 

«Quand je pense! Quand je pense au sang d’encre que je me suis fait pour lui! Quand je pense! Quand je pense qu’à cause de ce clown j'ai failli larguer la médecine! Quand je pense! Quand je pense que mon cœur a cessé de battre dix fois dans la nuit!»


Cette nuit-là, le docteur Galvan trouva la foi, la perdit, la retrouva, la perdit à nouveau. Il fallait qu’il le raconte à quelqu’un. Désolé que ce soit vous. 


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lundi 9 mars 2015

Haut-le-Choeur - Gaëlle Perrin-Guillet

Quatrième de couverture : 

Alix Flament, journaliste à Chambéry, travaille sans conviction sur un article relatant les mésaventures sexuelles d’un candidat à l’élection présidentielle française.
Six ans plus tôt, elle était une spécialiste reconnue des affaires criminelles. 
Jusqu’à ce qu’elle publie un livre d’entretiens avec la pire tueuse en série que le pays ait connu depuis le XIXe siècle, ouvrage dont elle ne se remettra pas et qui marquera la fin de sa carrière dans le domaine des faits divers.
L’évasion sanglante d’Éloane Frezet redonne vie aux cauchemars qui la hantent depuis ses dialogues hallucinés avec la meurtrière. Mais seule Alix la connaît suffisamment pour tenter d'aider la police à la traquer.
C'est sans compter que la meurtrière, loin de se terrer, espère bien tenir sa promesse de terminer l'oeuvre mortelle qu'elle a dû interrompre lorsqu’elle se trouvait derrière les barreaux...


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Point d'impact :

" 
Et si elle avait raison ? Si au fond de chacun de nous résidait une poussière d'animalité capable de nous faire commettre les pires folies sous l'influence du déclencheur le plus vieux du monde : l'amour ?"

Palmarès de l'AUTEUR:


Gaëlle Perrin-Guillet est secrétaire de mairie le jour et auteur de thriller la nuit. 

Depuis toujours amatrice de romans noirs, elle s’essaie à l’écriture en 2000. 

Après deux romans auto-publiés (« Le Sourire du diable » en 2010 et « Au fil des morts »en 2011), elle participe à deux recueils des « Auteurs du noir face à la différence » (en 2012 aux éditions JIGAL puis en 2013 à L’atelier Mosesu).

Haut-le-cœur (2013) est son premier roman publié aux Editions Rouge Sang et reçoit le 
Prix du Polar 2014 Dora-Suarez
                                        
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dimanche 8 mars 2015

Tête à tête avec Olivier Kourilsky





Olivier Kourilsky est médecin, professeur honoraire au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris. Son dernier roman le 7ème péché  a reçu le prix du polar, Aumale (vous pouvez retrouver ma chronique ici ) . Et si on essayait de faire un peu plus connaissance ...



Pourquoi avoir gardé comme pseudo Docteur K ? C'est la nostalgie de votre ancien métier ? Enfin peut être pratiquez vous encore la médecine ?


Ce surnom m’a été donné par un ami photographe lors de notre première rencontre, et il l’a utilisé dans l‘article qu’il a écrit à propos de mon premier roman (Meurtre à la morgue). Petit-à-petit, tout le monde s’est mis à m’appeler comme ça, aussi bien à l’hôpital (j’ai quitté le service que je dirigeais il y a quelques années mais je continue effectivement à exercer la médecine à temps partiel) que dans le « milieu » littéraire, y compris mon éditeur ! J’ai même hésité à signer de ce pseudo mon dernier polar, mais j’ai préféré garder mon nom pour ne pas brouiller les pistes ! D’ailleurs, j’ai eu une grosse frayeur une fois au Livre sur la place à Nancy… À l’accueil, on ne retrouvait pas mon nom sur la liste des invités : j’étais inscrit sous le nom de Docteur K…

Dans votre roman, on sent que le médecin n'est jamais loin... le milieu hospitalier reste un point central de vos œuvres, pourquoi ne pas s'en détacher ?


J’ai envie de vous répondre : pourquoi s’en détacher ? Dans un secteur très prolifique, cet environnement donne une ambiance particulière à mes romans, qui peut intéresser certains lecteurs. Le grand paresseux que je suis doit fournir moins d’efforts de documentation pour le décrire. J’ai toujours été passionné par la médecine depuis mon plus jeune âge et je n’ai jamais regretté mon choix malgré toutes les difficultés et les sujétions de ce métier. Cela me permettait d’en témoigner. Je parsème les histoires d’anecdotes réelles. Dans les premiers romans, j’ai tenu à évoquer des situations que les plus jeunes ne connaissent heureusement plus depuis 1975 : les avortements clandestins. Lorsque j’étais externe en chirurgie, nous en voyions 10 à 15 par garde ! Plus tard, en réanimation, c’était environ 3 complications gravissimes par mois, des morts, des séquelles graves… C’est quelque chose qui m’a profondément marqué et je pense qu’il est important de le rappeler.
Cela dit, parler de ce milieu n’est pas un exutoire, plutôt une particularité. Du reste, les 5ème et 6ème romans (Dernier homicide connu et Homicide postmortem) sont plus policiers purs, même si, des personnages médecins y interviennent. Le 8 ème s’en éloignera sans doute aussi. J’essaie de varier un peu les situations à chaque fois. Une autre particularité est qu’il y a volontiers des personnages récurrents, qui prennent de l’âge au cours d’épisodes indépendants les uns des autres. On peut lire mes polars dans n’importe quel ordre, mais cela donne une certaine unité à l’ensemble.

Qu'est ce qui à fait que vous avez souhaitez écrire des romans policiers alors que cela ne correspond pas à votre carrière professionnelle ? Une passion pour ce genre littéraire peut-être ?


C’est vrai que je lis beaucoup de romans policiers, entre autres. Mais surtout, j’adore raconter des histoires qui captivent les lecteurs. Le genre policier était un bon moyen pour cela. De plus, l’établissement d’un diagnostic médical a beaucoup de points communs avec une enquête policière : interrogatoire, recherche d’indices, mise en corrélation,… Le genre policier n’interdit pas, évidemment, de peaufiner le style et l’écriture. Chaque fois que je remets un manuscrit à mon éditeur, je sais qu’il y aura deux à trois mois de corrections et de travail sur le texte. C’est dur pour l’ego mais indispensable pour la qualité et la fluidité du texte.

L'idée d'un roman germe pendant combien de temps avant de vous lancer dans l'écriture ? D'ailleurs comment arrive une histoire ? suite à une conversation, des anecdotes, un rêve ..


En général, j’attends d’avoir un synopsis bien clair dans ma tête, cela peut prendre plusieurs mois. Je note les points importants sur un cahier d’écolier ! Ensuite, quand l’histoire est bien mûre, je commence à écrire (sur ordinateur, texte formaté pour que le nombre de pages corresponde à celui de l’ouvrage terminé). Bien entendu, avant, il y a aussi tout le travail de documentation, variable suivant le thème choisi. Je suis assez maniaque sur ce point, parfois trop (dans le 2ème, meurtre avec prémédication, qui se passe en Bretagne dans les années 70, j’ai été jusqu’à vérifier l’horaire des marées !). Je vais repérer les lieux afin qu’ils correspondent bien à la description qui en sera faite, prendre des photos (pour le 7ème péché, j’ai été voir la rue où se passe l’accident à minuit, pour vérifier si l’endroit s’y prêtait bien, explorer le tunnel où vivait le clochard !). Je me renseigne auprès d’amis policiers, ou d’autres personnes suivant le thème choisi. C’est cela qui est passionnant. Quand on écrit, on s’instruit ! Et même s’il s’agit d’une pure fiction, sans tomber dans le genre « les experts », il faut éviter les invraisemblances. Après, c’est le miracle de l’écriture. Des idées viennent en cours de route, rebondissements, nouveaux personnages… La rédaction me prend entre 6 à 9 mois, sans compter les corrections ultérieures avec l’éditeur.
Je ne mets habituellement pas en scène des faits divers réels. Je suis toujours à l’affût d’anecdotes vécues, soigneusement notées après des conversations, que je peux retravailler et intégrer dans mes histoires. Le thème me vient à l’esprit plus ou moins spontanément : un groupe d’étudiants en médecine confrontés à des meurtres dans leur entourage ; un jeune médecin breton qui trouve en sortant d’un bus les papiers d’une jeune fille dans sa poche d’imper (cela m’est arrivé !) ; une histoire qui prend ses racines pendant la guerre d’Algérie ; un pitoyable personnage de « Don Juan » ; deux frères marqués à jamais par un souvenir terrible, mais qui prennent des chemins divergents ; une vengeance posthume ; un médecin bien peu sympathique à qui il arrive beaucoup d’ennuis,… Je me suis aperçu récemment que les femmes étaient souvent des personnages principaux ! Les histoires sont parfois racontées à la première personne, parfois à la troisième.. Comme je vous l’ai dit, j’essaie de varier les plaisirs. En espérant que cela reste aussi un plaisir pour le lecteur !

J'aime savoir dans quelle environnement un auteur écrit. Une boisson fétiche, une musique, un fauteuil particulier ?? chez vous ou dans un lieu public ?? dites nous tout !!


Vous allez être déçue… J’écris n’importe où, sans heure de prédilection, quand ça vient (et pas quand ça ne vient pas !), parfois la nuit quand une idée me réveille. J’aime bien écrire à la campagne, mais aussi au milieu de tout le monde, je peux être très concentré ! Parfois, j’écris même dans le train. J’écoute de la musique, mais pas toujours, et pas un morceau particulier. Pas de boisson particulière non plus (pas alcoolisé en tout cas !). Vous voyez, c’est d’une banalité affligeante (rire) !

J'ai l'impression que vous êtes tout le temps sur les routes pour des salons ou des dédicaces à droite à gauche, à mon avis vous en tirez un grand plaisir. Mais cela ne lasse pas un peu de temps en temps  même si cela fait parti du jeu de l'édition ?


Vous avez tout-à-fait raison. Ce sont des moments de rencontre, d’échanges très agréables avec des lecteurs, des retrouvailles avec des amis écrivains, l’occasion d’en rencontrer d’autres. En même temps, cela occupe beaucoup de week-ends (heureusement que je n’ai plus de gardes !), au risque de perturber la vie de famille et aussi le travail d’écriture ! J’essaie de ne pas dépasser une certaine fréquence, mais c’est un passage obligé auquel même les écrivains célèbres se plient.

Je suppose que vous avez déjà la trame du 8ème tome ...vous nous donnez un petit os à ronger ?


Ma « période réfractaire » a été un peu plus longue cette fois pour de multiples raisons, dont certaines évoquées plus haut : mon synopsis n’est pas encore finalisé, et le titre non trouvé ! Je n’en ai donc pas démarré la rédaction… Mais il commencera dans un château en ruines du pays de Galles (que j’ai bien sûr visité), hanté comme il se doit, avec un gangster très superstitieux, se poursuivra à Londres puis Paris, avec des personnages déjà connus et d’autres nouveaux… A suivre !

Avez-vous un livre qui prend un peu de place sur votre table de nuit mais dont vous ne pourrez vous séparer ?

Pas un, quinze... Et la pile se renouvelle, lentement car il y a des moments où je lis peu (notamment quand je suis en période d’écriture).


Je vous laisse finir, une dernière petite chose à nous raconter ...


Il y a une quinzaine d’années, en raison de ma nullité abyssale sur le sujet, j’ai suivi un stage d’informatique de 3 jours à la Fac de médecine des Saints-Pères. J’ai demandé à notre moniteur si les salles de dissection où nous apprenions l’anatomie existaient encore et si elles évoquaient toujours un décor de film d’horreur. « Oui, m’a-t-il répondu ; d’ailleurs une fois il y a eu un mort de trop ». « Ha ha, la bonne blague, ai-je pensé ». Mais l’idée de la première scène de Meurtre à la morgue germait dans mon esprit. Coup de téléphone au directeur du pavillon d’anatomie, visite guidée (les salles étaient effectivement inchangées et toujours aussi sinistres), photographies (données à développer sans réfléchir au photoshop pendant ma leçon de piano… Tête du vendeur quand je les ai récupérées !), début de l’écriture, sans trop savoir où j’allais.
Huit mois plus tard, alors que j’avais écrit le tiers du roman, je rencontre un vieil ami médecin légiste lors d’une réunion professionnelle. Je lui demande « Cette histoire de meurtre à la Fac des Saints-Pères, c’est du pipeau, non ? ». « Pas du tout, me répond-il, c’est moi qui ai fait l’autopsie ». C’est ainsi que j’ai appris qu’il y avait bien eu une jeune fille retrouvée découpée en morceaux dans le pavillon d’anatomie, vers 1981… Comme quoi la réalité n’est jamais loin de la fiction, même la plus extravagante…


samedi 7 mars 2015

Bérézina - Sylvain Tesson

Quatrième de couverture : 

En octobre 1812, piégé dans Moscou en flammes, Napoléon replie la Grande Armée vers la France. Commence La retraite de Russie, l'une des plus tragique épopée de l'Histoire humaine. La Retraite est une course à La mort, une marche des fous, une échappée d'enfer. Deux cents ans plus tard, je décide de répéter l'itinéraire de l'armée agonisante, de ces cavaliers désarçonnés, de ces fantassins squelettiques, de ces hommes à plumets qui avaient préjugé de l'invincibilité de l'Aigle. Il ne s'agit pas d'une commémoration (commémore-t-on l'horreur ?), encore moins d'une célébration, il s'agit de saluer par-delà les siècles et les verstes, ces Français de l'an XII aveuglés par le soleil corse et fracassés sur les récifs du cauchemar. Le géographe Cédric Gras, le photographe Thomas Goisque et deux amis russes, Vassili et Vitaly, sont de la partie. Pour l'aventure, nous enfourchons des side-cars soviétiques de marque Oural........


Ma "touche" perso :



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Point d'impact :

"Moi qui aime par-dessus tout la contemplation des atlas, je me disais que les stratèges exercent un beau métier. Ils vivent, penchés sur les cartes, à piqueter des épingles et dessiner des flèches, en s'offusquant que le mouvement des troupes ne suit pas les tracés. "



Palmarès de l'AUTEUR:


Sylvain Tesson est un écrivain voyageur.

Géographe de formation, il effectue en 1991 sa première expédition en Islande, suivie en 1993 d'un tour du monde à vélo avec Alexandre Poussin. C'est là le début de sa vie d'aventurier. Il traverse également les steppes d'Asie centrale à cheval avec l'exploratrice Priscilla Telmon, dont il fut le compagnon pendant de nombreuses années, sur plus de 3000 km du Kazakhstan à l'Ouzbekistan. En 2004, il reprend l'itinéraire des évadés du goulag en suivant le récit de Slavomir Rawicz : The Long Walk (1955). Ce périple l'emmène de la Sibérie jusqu'en Inde à pied.

Depuis quelques années, il écrit des nouvelles, dans un registre poétique où souvent l'absurde des situations humaines est montré avec humour. Il collabore également à diverses revues.

Aujourd'hui, Sylvain Tesson est membre d'honneur de l'INREES, Institut de recherche sur les expériences extraordinaires. Il est aussi administrateur de la Guilde européenne du raid et du comité directeur de la Société des explorateurs français.

Ces derniers ouvrages lui ont valu la reconnaissance critique et public. "Une vie à coucher dehors" chez Gallimard à reçu le Goncourt de la nouvelle en 2009, et "Dans les forêts de Sibérie " du même éditeur, le Prix Médicis essai 2011.
                                        
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vendredi 6 mars 2015

Mon doudou divin - Katarina Mazetti

Quatrième de couverture : 

Pigiste pour la presse féminine, Wera a épuisé tous les sujets. Et ses liquidités ! Elle tombe à la caisse d'un supermarché sur une petite annonce proposant un stage en spiritualité. 

Un sujet en or ! C'est parti pour trois semaines d'immersion à La Béatitude, en compagnie d'un apprenti gourou, d'une « petite mère », et de quatre autres participants en manque de spiritualité. 

Il y a un médecin radié, un musulman iranien, une femme invisible, et Madeleine qui porte en permanence son sac à dos comme un fardeau. Ressortiront-ils adeptes d'une nouvelle religion ou déchargés de leurs préjugés ?

Car tous, même Wera et son pseudo-cynisme, sont en quête de sacré. N'avons-nous pas tous besoin d'un doudou divin à dorloter ?


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Point d'impact :

"
Un stage pour créer son propre Dieu !"

"Et autre chose ! Toutes les cultures depuis l'aube des temps ont eu des mythes et des dieux - et à moins d'être cinglé au point de croire en tous, on est bien obligé de tirer la conclusion que c'est un simple mortel qui les a bricolés au coin du feu dans sa hutte !"


Palmarès de l'AUTEUR:


Katarina Mazetti est née à Stockholm mais a grandi à Karlskrona un port au sud de la Suède.

Elle a obtenu une maîtrise en littérature et en anglais à l'Université de Lun, avant de travailler comme professeur, puis comme producteur de radio et journaliste. Elle a été également critique littéraire.

Son premier roman, "Le mec de la tombe d'à côté", était fondé sur son expérience en tant que femme d'agriculteur. Il a été traduit en 16 langues et a connu un grand succès. Vendu à 450 000 exemplaires en suédois, il sera traduit en 22 langues et adapté au théâtre et au cinéma. En 2002, le film est un succès, vu par plus d’un million de suédois.

                                        
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jeudi 5 mars 2015

Le 7ème péché - Olivier Kourilsky

Quatrième de couverture : 

Christian Arribeau, jeune médecin ambitieux et pétri d’orgueil, a planifié méthodiquement sa carrière pour accéder aux plus hautes fonctions, balayant tous ses autres concurrents. Au moment où il vient de franchir avec succès la dernière étape avant sa nomination comme professeur de néphrologie, et alors qu’il sort discrètement d'un immeuble, il renverse, dans une rue déserte, un clochard qui se jette sous ses roues. Paniqué à l’idée des conséquences sur sa carrière, et persuadé de l’absence de témoin, il prend la fuite. Commence alors une vertigineuse descente aux enfers, orchestrée par l’obstination d’un policier et l’intervention d’un témoin mystérieux aux motivations obscures. S’agissait-il d’un banal accident ou d’une sombre machination ? Et dans ce cas, qui tire les ficelles ? L’univers bien organisé et la belle assurance d’Arribeau vont s’écrouler comme un château de cartes. 


Ma "touche" perso :


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Point d'impact :

"Il y a des jours comme ça. Des jours qui commencent bien et qui se terminent dans le cauchemar. Des jours où on voudrait pouvoir remonter le temps, pas beaucoup, juste de quelques secondes pour changer le cours de la vie. "



Palmarès de l'AUTEUR:


Olivier Kourilsky est médecin, professeur honoraire au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris. 

Olivier Kourilsky a notamment participé à plusieurs émissions télévisées : le Magazine de la santé, C dans l’air et fut promu au grade de Chevalier de la Légion d’honneur le 14 juillet 2005. 

Il a reçu le Prix Littré en 2010, qui récompense des ouvrages restituant l'éthique médicale, pour la publication de " M
eurtre pour de bonnes raisons"

Et le 7ème péché à reçu le prix du polar, Aumale en 2014.

Site de l'auteur : http://www.olivierkourilsky.fr/ 

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