Vous cherchez un Auteur ?

mercredi 30 septembre 2015

Un an déjà ......

Voila demain on souffle une bougie !! Un an pour ce blog. C'est le moment d'un petit discours.

Avant toutes choses, les remerciements !
Lorsque je me suis lancée dans cette aventure, je ne pensais pas que cela serait si enrichissant. Tant en échange qu' en rencontre. Je pense que maintenant ce serait un manque, si je devais tout arrêter. Donc merci d'être présent ici ou sur les réseaux FB, Pinterest, Twitter, Google + ......

Petite Rétrospective :
Que c'est il passé en un An ! C'est 161 Articles :
-11 Enfants ont eu la gentillesse de nous parler de leur lecture ..
-7 Lectures communes avec d'autres lecteurs dont certains sont blogueurs également.
-2 Concours ( attention je me penche sérieusement sur le Noël des Blogueurs 2015)
-4 Coup de projecteurs (une petite rubrique assez récente )
-8 Interviews
-2 "Photo un livre" (cette rubrique à l'avantage de réunir mon plaisir des jolies photos avec ma folie des livres)
-586 commentaires (j'avoue que c'est ce que je préfère ....pouvoir échanger avec vous !)

Mais c'est surtout !
145 personnes qui me suivent sur Google + 
247 abonnés à la page Facebook du blog qui me font confiance ...
et 20 647 visites sur le blog

Je suis très touchée de l'intérêt que vous me portez. Je ne pensais pas pouvoir me faire une petite place dans la blogosphère, et finalement tout doucement, je clôture ma place et y installe mes meubles ! 
Bon cela dit, un an c'est pas vieux non plus, donc je suis toujours à l'écoute des divers conseils que l'on peut m'apporter.

Voila la séquence émotion est terminée ....MERCI ENCORE POUR TOUT CE QUE VOUS M'APPORTEZ  .....Maintenant je retourne lire pour vite revenir papoter avec vous ! 

lundi 28 septembre 2015

La Fille du train - Paula Hawkins

Ma "touche" perso:


Mon score:



Quatrième de couverture:

Depuis la banlieue où elle habite, Rachel prend le train deux fois par jour pour aller à Londres. Le 8 h 04 le matin, le 17 h 56 l’après-midi. Chaque jour elle est assise à la même place et chaque jour elle observe, lors d’un arrêt, une jolie maison en contrebas de la voie ferrée. Cette maison, elle la connaît par cœur, elle a même donné un nom à ses occupants qu’elle voit derrière la vitre. Pour elle, ils sont Jason et Jess. Un couple qu’elle imagine parfait, heureux, comme Rachel a pu l’être par le passé avec son mari, avant qu’il ne la trompe, avant qu’il ne la quitte. Rien d’exceptionnel, non, juste un couple qui s’aime. Jusqu’à ce matin où Rachel voit un autre homme que Jason à la fenêtre. Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Rachel, bouleversée de voir ainsi son couple modèle risquer de se désintégrer comme le sien, décide d’en savoir plus sur Jess et Jason. Quelques jours plus tard, c’est avec stupeur qu’elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu…

samedi 26 septembre 2015

L'Histoire épatante de M. Fikry et autres trésors - Gabrielle Zevin

Ma "touche" perso:

RDV SUR MON NOUVEAU BLOG POUR LIRE L'ARTICLE !

Mon score:


Quatrième de couverture:

A.J. Fikry a l'un des plus beaux métiers du monde : il est libraire. Un libraire misanthrope et bourru qui file un mauvais coton depuis le décès de Nic, son épouse. Peu importe, livre ou être humain, il est devenu bien difficile de trouver grâce à ses yeux. L'irrésistible petite Maya va pourtant fendre son armure. Sa maman souhaitait qu'elle grandisse au milieu des livres et l'a donc laissée dans les rayons de l'unique librairie d'Alice Island. C'est ainsi qu'A.J., faussement récalcitrant, se retrouve à pouponner ce chérubin aussi malicieux que despotique. Et dans le sillage de ce duo improbable, tout leur entourage va découvrir que les aventures étonnantes, épatantes et émouvantes n'arrivent pas que dans les livres.

mercredi 23 septembre 2015

A vous de trouver ma prochaine lecture !

EDIT : Suite à vos votes ma lecture sera donc Grossir le ciel avec 12 voix ! (J'entends le bruit des ailes qui tombent 10 , Le vieux qui déjeunait seul 4, Millénium 1 et Babel nuit 0)

Merci encore d'avoir participé ! on se donne RDV le mois prochain pour une nouvelle sélection !

Vous savez que j'aime échanger avec vous et encore plus vous faire participer à ce blog .. Cet article à justement pour but de vous faire choisir "votre" futur chronique ! Pour cela vous devez me dire ce que je vais lire  pour le mois d'Octobre ???

Le mois dernier , c'était "Le carnaval des hyènes" qui avait remporté tous les suffrages, d'ailleurs ma chronique est ici ..(un roman qui m'a beaucoup plu)

Donc voici les 5 romans présent dans ma PAL que je choisis de mettre en compétition ce mois-ci . Je vous ferais une chronique sur le roman qui aura été le plus plébiscité . Je vous laisse jusqu'à dimanche pour faire votre vote.

Voila ma petite sélection  :


Elle est une hackeuse de génie. Une justicière impitoyable qui n’obéit qu’à ses propres lois.
Il est journaliste d’investigation. Un reporter de la vieille école, persuadé qu’on peut changer le monde avec un article. La revue Millénium, c’est toute sa vie. Quand il apprend qu’un chercheur de pointe dans le domaine de l’intelligence artificielle détient peut-être des informations explosives sur les services de renseignements américains, Mikael Blomkvist se dit qu’il tient le scoop dont Millénium et sa carrière ont tant besoin. Au même moment, Lisbeth Salander tente de pénétrer les serveurs de la NSA…
Dix ans après la publication en Suède du premier volume de Millénium, David Lagercrantz livre un thriller d’une actualité brûlante et signe les retrouvailles des personnages cultes créés par Stieg Larsson. La saga continue.



L' abbé Pierre vient de mourir. Gus ne saurait dire pourquoi la nouvelle le remue de la sorte. Il ne l' avait pourtant jamais connu, cet homme-là, catholique de surcroît, alors que Gus est protestant. Mais sans savoir pourquoi, c était un peu comme si l' abbé faisait partie de sa famille, et elle n est pas bien grande, la famille de Gus. En fait, il n' en a plus vraiment, à part Abel et Mars. Mais qui aurait pu raisonnablement affirmer qu' un voisin et un chien représentaient une vraie famille ? Juste mieux que rien. C' est justement près de la ferme de son voisin Abel que Gus se poste en ce froid matin de janvier avec son calibre seize à canons superposés. Il a repéré du gibier. Mais au moment de tirer, un coup de feu. Abel sans doute a eu la même idée ? Non.
Longtemps après, Gus se dira qu' il n aurait jamais dû baisser les yeux. Il y avait cette grosse tache dans la neige. Gus va rester immobile, incapable de comprendre. La neige se colore en rouge, au fur et à mesure de sa chute. Que s est-il passé chez Abel ? 



Clara, une jeune serveuse de 27 ans, se prend d'affection pour un vieux monsieur qui l'intrigue mais dont elle ne sait rien sinon que, chaque lundi, il déjeune invariablement à la même table et commande invariablement les mêmes plats, des poireaux vinaigrette et un bœuf carotte. Elle est loin de se douter qu'elle-même a piqué la curiosité de ce vieil homme éprouvé, dans son cœur et dans sa chair, par la vie. Derrière la gentillesse et l'éternelle bonne humeur de la jeune femme, il a décelé une faille, une blessure secrète. Et pour cause. Rongée par le poids de la culpabilité d'actes dont elle n'est pourtant pas responsable, Clara s'interdit d'être heureuse. Tout pourrait changer au contact de Clément, ce grand-père qu'elle se choisit. Avec Clara, il va retrouver la joie de vivre et l'allégresse de ses 20 ans. Avec Clément, elle va apprendre à (se) pardonner et à aimer. 


Aux origines de ce récit, un inavouable secret d’enfance : le narrateur n’a jamais compris un traître mot de ce que lui disaient ses parents, chacun usant d’une langue non seulement étrangère, mais d’origine inconnue. À l’âge de trente-huit ans, lors d’une visite à sa mère, tout bascule : plusieurs mots sortis de sa bouche à elle font soudain sens. Troublé par cette révélation, il prend la fuite, recherchant qui voudra prêter une oreille attentive à son histoire. Le voilà qui dérive dans la nuit parisienne, embrasse une belle endormie au fond d’un chantier, dérobe une truffe blanche dans un hôtel cinq étoiles, subit malgré lui une IRM à l’hôpital et ressuscite un amour oublié mais salvateur. 






"Al avait déjà pensé au mal, le pur et dur, celui qui ne connaît ni la souffrance, ni la morale, celui qui évolue dans un néant absolu sans passé, sans présent, sans futur. Il avait parlé à des tueurs dans les yeux desquels il n'avait rien lu. Le vide. Le noir. Un abîme. Pas même une branche pourrie à laquelle s'accrocher. On plongeait en chute libre dans leur rétine et on ne s'arrêtait jamais, parce que le mal n'a pas de fond. " 

New York. 1969. Entre les bouleversements sociaux et politiques qui saignent les Etats-Unis en cette fin de décennie, des meurtres ne pèsent pas lourds dans une ville comme New York. Mais lorsque des enfants sont retrouvés chez eux assassinés dans des mises en scène macabres, la terreur s'installe. Al Seriani, un flic rongé par la culpabilité depuis la mort de son collègue, est mis sur l'affaire. Mais l'instabilité de son état émotionnel ne lui rend pas la tâche facile. Révolté par sa vie personnelle chaotique et l'indifférence des suspects, il tente tant bien que mal de contenir la boule vibrante de rage qui grossit en lui. L'enquête le mène sur les traces d'une vieille légende qui le poussera à fouiller dans le passé obscur de l'humanité, un passé semé de cadavres où il se trouvera confronté aux origines de la cruauté des hommes, mais également à ses propres origines, dévoilant l'abominable vérité sur sa naissance. 


A vos votes !


lundi 21 septembre 2015

Le gang de la clef à molette - Edward Abbey


Révoltés de voir le somptueux désert de l'Ouest défiguré par les grandes firmes industrielles, quatre insoumis décident d'entrer en lutte contre la "Machine". Un vétéran du Vietnam accroc à la bière et aux armes à feu, un chirurgien incendiaire entre deux âges, sa superbe maîtresse et un mormon nostalgique et polygame commencent à détruire ponts, routes et voies ferrées qui balafrent le désert. Armés de simples clefs à molette - et de dynamite - nos héros écologistes vont devoir affronter les représentants de l'ordre et de la morale lancés à leur poursuite. Commence alors une longue traque dans le désert.

Dénonciation cinglante du monde industriel moderne, hommage appuyé à la nature sauvage et hymne à la désobéissance civile, ce livre subversif à la verve tragi-comique sans égale est le grand roman épique de l'Ouest américain.

Ce classique, vendu à des millions d'exemplaires depuis sa parution au milieu des années 70, est devenu la bible d'une écologie militante et toujours pacifique... ou presque.


Vous connaissez maintenant très bien notre petit RDV de la lecture commune entre un invité et moi-même. Aujourd'hui, Vincent du blog "the big blowdown " me fait l'honneur d'être mon invité. Vincent, c'est la voix qui chante, les cigales, le sourire. C'est aussi la voix de la raison, mon papé ! Je suis très heureuse d'avoir partagé ce moment avec lui et surtout vous faire découvrir (si ce n'est pas encore fait) son univers.

Si tu te présentais.....

Vincent :  Rédacteur du blog http://thebigblowdown.wordpress.com. Amoureux du polar et du roman noir depuis de nombreuses années… presque un demi-siècle… ;)
Signe particulier : Fan absolu de George Pelecanos et de ses romans, pour lesquels je pratique un prosélytisme éhonté.


Pourquoi ce livre?

V 
En lecture commune, mon hôtesse Stef m’avait donné le choix entre plusieurs titres et mon choix s’est porté sur ce bouquin, dont le titre m’intriguait. Je subodorais quelque chose d’assez humoristique, et de l’humour il y en a, mais plutôt grinçant.

M :  J'ai donné plusieurs choix à Vincent. Celui-ci, lui a plu. Pour ma part, j'avais lu pas mal de commentaires sur ce roman, j'avais donc envie de le découvrir.

L'auteur est-il un illustre inconnu pour vous ou au contraire un fidèle de votre bibliothèque ?

V : 
Edward Abbey était pour moi totalement inconnu, autant comme écrivain, que comme le militant écologiste radical qu’il fut, dont l’action et les écrits ont contribué à forger la conscience de bon nombre de militants écologistes, aux Etats-Unis comme dans le reste du monde.

M :  Inconnu. Je n'ai jamais rien lu de l'auteur. D'ailleurs en dehors de ce roman, je ne peux vous donner les titres de ses autres écrits. 

En un mot, votre ressenti …

V Un mot ? C’est un peu court, jeune homme (Emprunté à Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac) ...Délicieusement subversif…

M :  
 Longggggggggggg..........( Vincent tu triches !!!! Et puis qu'est ce qui te dit que c'est un homme notre intervieweur ??) 

Et si on devait approfondir en quelques lignes.

V Le Gang de la clé à molette concerne l’usage du sabotage pour protester contre les activités détruisant l’environnement dans le Sud-Ouest Américain. 
Quel beau roman que celui-là !!!
D’un humour féroce, infiniment avisé, l’histoire presque tragique du combat d’un homme contre la modernisation effrénée de son pays, contre l’expansion inévitable des autoroutes, centres commerciaux, parkings. Ces barrages qui, pour apporter le progrès, noient de magnifiques vallées millénaires sous des millions de mètres-cube d’eau. D’une grande imagination jusque dans les moindres détails, écrit dans un style simple et percutant, c’est un roman impeccablement construit, comme un scénario de cinéma. J’imagine ce que pourrait donner un tel roman adapté au cinéma : histoire de vengeance, violence gratuite, personnages hauts en couleurs, etc… Tous les ingrédients nécessaires sont là.
Sa pensée intelligente et perspicace est magistralement équilibrée avec une prose très simple et une capacité inouïe de conteur. Dans ce livre, Abbey peut en même temps être très mécontent et profondément critique du monde qu’il observe autour de lui, pendant qu’il nous régale de moments de totale comédie, avec un sens de la vie directement inspiré de Kerouac et des beatnicks qui ont traversé la campagne de l’Ouest avant lui.
L’auteur ne déclarait-il pas : « Je suis devenu un homme de l'Ouest à l'âge de 17 ans, pendant l'été 1944, en faisant de l'auto-stop à travers les États-Unis. J'ai eu le coup de foudre, une passion qui ne m'a jamais quittée »
Cette passion ne se dément pas et transparaît dans chaque mot de son livre. Une véritable déclaration d’amour à l’Ouest sauvage.


M : Purée !! donnez lui la parole et on l'arrête plus notre Vincent ! donc c'est mon tour. .. Disons que j'en attendais beaucoup de ce roman ! Déjà lorsque j'ai lu la quatrième de couverture j'ai vu "Tragi-comique" et je n'ai donc retenu que le comique (c'est mon esprit "on va droit à l’essentiel" ) Ah mais je n'ai pas trouvé cela drôle du tout ...Donc une petite déception ! 
Après, le combat écolo, je ne suis pas contre. Bien au contraire. Mais là je trouve que par moment, les personnages ont des actes dont les conséquences les dépassent. (comme vouloir faire péter un barrage quitte à noyer une ville ...) Donc par moment, il y avait une perte de crédibilité dans l'histoire ( attention ce n'est toujours que mon avis !). Les personnages sont contre l'évolution mais on a un chirurgien qui prend l'avion régulièrement, une jeune femme qui aime bien un peu de confort aussi, Les seuls personnages crédibles sont pour moi le vétéran et le mormon.
Et pour finir, entre chaque action, l'auteur nous raconte le pourquoi du comment du truc du machin ..Et je me suis lassée ..Les personnages ne m'ont pas sensibilisé ..Donc pour conclure, je n'ai pas aimé ce roman comme je pensais !

Serait-ce un livre que vous conseillerez ?

V :  
Sans aucun doute, et sans aucune réserve !


:  Honnêtement ! Je ne pense pas ...(mais je suppose que vous connaissiez déjà ma réponse là !)

Quel titre auriez-vous donné à ce livre si vous en étiez l'auteur ?

V : 
« La Terre d’abord » qui me semble résumer ce que fut le souci de l’auteur, durant toute sa vie.

M : Rudolf le rouge !

Que pensez-vous de la couverture du roman ? est-elle bien choisie ?

G : 
J’aime bien. Elle n’est pas tape à l’œil, d’une grande sobriété et bien équilibrée, entre ombre et lumière.

M : Oui, elle est énigmatique et tout en étant très sérieuse.

Disons que vous êtes avec l'auteur, fauteuil, café...L'ambiance parfaite pour des petites confidences. Vous êtes bien. Vous lui parleriez de quoi ?

V : 
Je lui demanderais de me parler de son pays « d’avant », quand tout était encore sauvage, et que la civilisation du hamburger n’avait pas encore tout envahi. J’aurais aimé aussi qu'il me parle des Anasazi, ces indiens pueblos du Sud-Ouest des Etats-Unis, de leur histoire et de leur culture, juste effleurés dans le roman.

M :  ( on ne pense pas que c'est un fantôme ou revenant hein ) Je crois que j'aborderais avec lui du  besoin d'évolution de notre monde. On ne peux régresser ! il faut donc comprendre l'évolution des diverses industries mais aussi trouver un moyen qu'elles respectent notre environnement... Vaste sujet, mais dit-on pas, que lorsque l'on parle on refait le monde ! 

Le mot de la fin à l'invité du blog ...

V : 
Tout d’abord, merci de ton invitation. Je dois dire que j’avais un peu hésité (oh, pas longtemps !!!), à me livrer à cet exercice dont je ne suis pas coutumier. Mais lorsque Stef m’a sollicité, je ne pouvais décemment pas refuser, devant tant d’enthousiasme. Et elle déploie tellement d’activité, tant d’énergie dans tout ce qu’elle fait, c’est à se demander si pour elle, les journées font vraiment 24 heures… J’ai pris beaucoup de plaisir à cet exercice, et un peu égoïstement, je rappelle à mes fans (si, si, il y en a…) que la chronique plus complète sera disponible sous peu sur mon blog.

Avec tous les remerciements du papé. Ce fut un réel plaisir de te rendre visite pour quelques heures, le temps de cet échange.

vendredi 18 septembre 2015

Engrenages - Eric Neirynck

Ma "touche" perso:

RDV SUR MON NOUVEAU BLOG POUR LIRE L'ARTICLE !

Mon score:





Quatrième de couverture:

Consultations chez ma psy (et plus si affinités...) Éric n'aime pas les psy et c'est pourtant au contact de l'une d'elles qu'il connaîtra ses plus grandes circonvolutions émotionnelles.Courte, trop courte, cette relation le conduira de Bruxelles à Paris où il tentera de trouver un sens à ce qu'il a vécu avec elle.Engrenages est plus qu'une quête de reconnaissance, c'est la recherche de notre propre définition au travers des déboires de nos vies

lundi 14 septembre 2015

Une femme simple et honnête - Robert Goolrick

Ma "touche" perso:

RDV SUR MON NOUVEAU BLOG POUR LIRE L'ARTICLE !


Mon score:


Quatrième de couverture:

Wisconsin, automne 1907.

Sur un quai de gare, Ralph Truitt, magnat local craint et respecté, attend un train en retard alors que s’annonce une tempête de neige. Ce train renferme son dernier espoir, une promesse de bonheur et d’harmonie retrouvée. Ralph Truitt a placé plusieurs mois auparavant une annonce dans un journal de Chicago, dans laquelle il a écrit qu’il était à la recherche d’une femme fiable, ayant renoncé aux illusions romantiques, mais sachant apprécier le confort d’un foyer.

Dans le train, Catherine Land s’apprête à le rencontrer. Elle lui a répondu qu’elle était cette femme simple et honnête qu’il appelait de ses vœux. Pour mieux l’en convaincre, elle se débarrasse de ses derniers atours de courtisane et se déguise en cette épouse modèle qu’elle compte bien incarner à la perfection, le temps de parvenir à ses fins.

Une femme simple et honnête est un premier roman étourdissant par son art de la narration et la qualité de sa prose. Il a été comparé aux États-Unis à Jane Eyre ou aux Hauts de Hurlevent, des sœurs Brontë.

samedi 12 septembre 2015

Coup de projecteur sur le marque-page

Marque-page ou signet ??

"Marque-page" est un mot récent qui a remplacé le mot "Signet". Le terme "signet" est un diminutif de signe (du latin signum qui signifie seing, signature, sceau, cachet, signe). Originellement utilisé comme sceau pour sceller et signer des lettres au XIIIème siècle, le signet du XVIIIème siècle est fabriqué en ivoire et parchemin sur lequel est écrit le message que l'on veut faire passer.

Un marque-page est un morceau de papier, de tissu, carton ou cuir rectangulaire (Plus rarement on en trouve en bois, en plastique ou en métal et depuis peu certains sont magnétiques)qui comme son nom l'indique, permet de marquer une page d'un livre, c'est-à-dire d'être capable de distinguer cette page des autres afin de pouvoir la retrouver ultérieurement, sans pour autant détériorer le livre (par de l'encre, une déchirure ou un pli).
Une forme plus ancienne, rarement proposée aujourd'hui, se distingue par le haut en forme d'ogive.

Certains livres d'édition luxueuse disposent d'une fine cordelette ou bande de tissu cousue qui permet également de marquer des pages. Ceux plus volumineux peuvent en avoir plusieurs.

Au temps où les tranches des livres n'étaient pas massicotées, le marque-page pouvait aussi servir de coupe papier.
Depuis quelques années, le marque-page est devenu un véritable objet d'art et de véritable bijou. 

Marque page Librairie Galignani 224 Rivoli Illustrateur Montmartre Joe Bridge 1886 New york -1967 Paris

2 MARQUE PAGES faits de PERLES D´ACIER sur FILS DE COTON de la fin XIX siècle


Un objet de collection !

Naturellement le marque-page est devenu un objet de collection, aisément acquis grâce à sa quasi-gratuité. Imagé, peu encombrant, traitant de  tous les sujets, il permet des sélections thématiques.

Tous les ans, en avril a lieu à Malo-les-Bains, près de Dunkerque (59), le salon international du Signet (une exposition qui présente environ mille signets regroupés suivant un thème qui diffère tous les ans, et une bourse d'échanges) réunit de nombreux collectionneurs venant de toute la France et des pays voisins. Ce salon a été le premier créé en France en 1999.

Il ne faut pas oublié non plus de préciser qu'il y a des clubs, des bourses d'échanges (Grignan, Fismes, etc...)
La collection de signets s'appelle la signopaginophilie.

Éditeurs de marque-pages
  • Éditeurs de livres
  • Librairies (indépendantes ou chaînes), bouquinistes
  • Bibliothèques
  • Manifestations autour du livre (nationales, régionales, prix littéraires et concours, salons du livre, salons du livre ancien, salons de la bande dessinée)
  • Institutions
  • Imprimeurs
Voila, j'espère que vous avez appris 2 ou 3 petites choses ...N'hésitez surtout pas à me prévenir si cet article vous a plu :)

vendredi 11 septembre 2015

Haine 13 - Stanislas Petrosky


Ma "touche" perso:

RDV SUR MON NOUVEAU BLOG POUR LIRE L'ARTICLE !

Mon score:


Quatrième de couverture:

Chiffre 13 ! Mauvaise pioche pour une Nationale. Terminus pour un loser... JE SAVAIS QUE CE PUTAIN DE CHIFFRE portait malheur, j'en étais intimement convaincu... Seulement après vingt-huit mois passés à la maison d'arrêt des Hauts-de-Seine, la RN 13 c'était la route directe pour rejoindre Caen en auto-stop. La poisse lui colle à la peau comme un déterminisme fatal. Lorsqu'il lève le pouce sur la RN 13, on subodore que ce loser n'aura pas usurpé sa réputation. Pétrosky use des codes du noir avec un talent consommé. 

mercredi 9 septembre 2015

Une Photo Un livre !






En flânant sur le web, je suis tombée sur une photo magnifique. Un arbre en noir et blanc dont les racines s'enchevêtrent autour d'une petite porte. 
Je me suis demandée où mène cette porte, vers quel monde.. Est-ce plus beau de ce côté? l'humanité est-elle plus calme ? 

Et puis je me suis souvenue d'un livre où le personnage, un enfant d'une douzaine d'année, orphelin de mère, vivant en Angleterre pendant la guerre, est étrangement attiré par le fond de son jardin. D'étranges arbres l’appellent. Ce gamin qui a du mal à vivre le deuil , le remariage de son père et la naissance d'un demi-frère s'enferme dans son monde entre les livres et ce jardin. Et puis un jour, il passe une porte et se retrouve propulsé dans un monde parallèle. Une sorte d'Alice de Lewis Caroll.

Ce roman parut en 2010 aux Editions J'ai Lu est resté dans ma mémoire et je l'identifie à ces arbres tortueux, magnifiques, étranges et qui nous plongent dans l'imaginaire.



Quatrième de couverture:

Inconsolable depuis la mort de sa mère, David, 12 ans, se réfugie dans les livres pour fuir le remariage de son père et se consoler de la naissance de Géorgie, son demi-frère. Un jour, il découvre un trou caché derrière des buissons, au fond du jardin, et se retrouve propulsé dans un univers parallèle, un monde étrange et hostile peuplé de trolls, de sires loups, de créatures hybrides, mi-hommes mi-animaux, et d’autres personnages issus de ses lectures et de son imaginaire… Grâce à l’aide du Garde-Forestier et de Roland, un preux chevalier, il va, après bien des épreuves – combats, énigmes à résoudre… – rencontrer un vieux roi qui conserve ses secrets dans un volume mystérieux, ‘Le Livre des choses perdues‘. Ce dernier, conseillé par l’Homme Biscornu, être maléfique qui suit David depuis son arrivée, lui propose un pacte : la vie de son demi-frère contre son royaume. David trahira-t-il Géorgie ?

Si vous souhaitez découvrir cette photographe de grand talent voici son Site web

lundi 7 septembre 2015

Tiré à quatre épingles - Pascal Marmet


Ma "touche" perso:

RDV SUR MON NOUVEAU BLOG POUR LIRE L'ARTICLE !

Mon score:


Quatrième de couverture:

Parmi les milliers de voyageurs, Laurent erre seul dans le hall de la gare de Lyon, l'air paumé. Il vient de rater son CAP boulangerie et sa mère l'a mis dehors. Samy, escroc à la grande gueule, le repère rapidement. Il a bien l'intention de profiter de la naïveté de ce gamin aux chaussures vertes et l'entraîne dans un cambriolage. L'appartement dans lequel ils pénètrent est une sorte d'antichambre du musée des Arts premiers et regorge de trésors africains. Mais ils tombent nez à nez avec la propriétaire et collectionneuse. Comme elle s'est blessée en tombant dans les escaliers, ils lui viennent en aide avant de s'enfuir. Pourtant, quelques heures plus tard, elle est retrouvée morte, abattue de cinq balles tirées à bout portant. Le commandant Chanel, chargé de l'enquête, s'enfonce alors dans l'étrange passé de cette victime, épouse d'un ex-préfet assassiné quai de Conti peu de temps auparavant. Un polar haletant sur fond de sorcellerie qui nous dévoile les coulisses de la gare de Lyon et nous ouvre les portes du célèbre 36 quai des Orfèvres.

dimanche 6 septembre 2015

Le carnaval des hyènes - Michaël Mention

Ma "touche" perso:

Mon score:


Quatrième de couverture:

Carl Belmeyer, arrogant présentateur de JT est faux, manipulateur, un authentique sale type. Ancien reporter de terrain, il vire ses collaborateurs sur un coup de tête, se moque de son audience, et sniffe de la coke.

Soudain, un scandale secoue la chaîne : dans son émission de téléréalité Villa Story, une candidate meurt après avoir été giflée par un concurrent.

Il faut redorer le blason de la chaîne, restructurer... Belmeyer doit changer ! Il est dépêché au Liberia, déchiré par la guerre civile, pour qu'il reprenne son rôle de journaliste engagé, et faire croire que la chaîne se recentre sur l'important, l'info.

samedi 5 septembre 2015

Tête à tête avec Alexandre Feraga



Notre invité d'honneur de ce tête à tête n'est autre qu' Alexandre Feraga, auteur du roman "Je n'ai pas toujours été un vieux con" . Je suis heureuse d'avoir la possibilité de découvrir un peu plus cet auteur dont le roman m'a beaucoup plu (le retour ici) et par la même occasion vous permettre de faire peut-être sa découverte! Et je vous rappelle de lire son roman !



Quel lecteur "jeunesse" étiez-vous ?
Je suis venu à lecture assez tard. Il n’y avait pas de livres chez mes parents. Mais, je me souviens que j’aimais beaucoup les Picsou Géants que je trouvais chez les copains ou à l’école. Il y a quand même un auteur qui m’a émerveillé et qui a probablement eu un impact sur mon imaginaire, cet auteur c’est Jules Verne. Je peux dire que c’est à l’âge de 12-13 ans que ma vie de lecteur a basculé, avec les romans de Stephen King.


Pouvez-vous nous parler du livre qui vous a le plus marqué?
Un des livres qui m’a le plus marqué est Le désert des Tartares de Dino Buzzati. (je le cite en exergue au début du vieux con). C’est un roman d’une noirceur poétique incroyable. C’est l’histoire du jeune officier Giovanni Drogo, tout juste promu et affecté au fort Bastiani. Il est chargé, avec d’autres, de surveiller le Désert des Tartares où l’ennemi est attendu prochainement. L’ennemi ne vient pas et durant plusieurs décennies, Giovanni Drogo va monter en grade, assurer jusqu’au bout cette absurde mission et vieillir dans ce fort qui l’obsède au point de ne pouvoir le quitter. C’est un livre sur le temps qui fuit et notre impuissance face à l’angoisse de vivre. 

Comment en êtes-vous arrivé à l'écriture ?
Je me suis mis à écrire parce que j’étais d’une timidité maladive et que les mots trébuchaient avant de sortir de ma bouche. L’écriture est venue d’une frustration de ne pas savoir parler.


Dans quelles conditions écrivez-vous ?
J’écris en musique et seul. Ce qui est une contradiction ! Disons que j’écris accompagné par la musique. J’écris plusieurs heures par jour et quasiment tous les jours depuis un an. Depuis la sortie de mon premier roman. Je m’astreins à cette discipline parce que je peux facilement devenir un être dilettante, et que la pratique régulière de l’écriture donne des automatismes et entretien la forme. Sinon, mes pensées rouillent.

Dans votre roman "Je n'ai pas toujours été un vieux con" vous abordez la vieillesse de façon légère et beaucoup d'humour. Est-ce votre façon d'aborder la vie ?
Je pense que la vie devrait se dérouler comme une grande farce, et qu’on devrait tous éclater de rire plusieurs fois par jour, au lieu de théoriser en permanence le moindre de nos gestes. Mais, malheureusement, je n’arrive pas à habiter cette conviction. Je suis poreux à la tristesse des gens, le moindre écueil peut me flinguer pour la journée. Je tombe facilement dans la nostalgie et il m’arrive souvent d’être angoissé par la journée à venir, comme Drogo ! L’écriture permet d’évacuer tout ça. La naissance de ma fille me soigne aussi beaucoup !

Votre personnage principal est assez complexe, même s'il y a bien pire que lui, ce n'est pas non plus le brave type. Que cherche t'il, l'absolution ?
Léon Pannec n’est pas un saint. Il a essayé de remplir sa vie comme il pouvait. Il a fait de jolies choses et d’autres beaucoup plus inavouables. C’est un être qui s’est construit dans la fuite, incapable d’accepter les échecs comme les plus belles histoires d’amour. Mais, le passé va venir régler ses comptes avec lui. Ce qu’il va accepter sans aucun problème, parce qu’une dernière et belle histoire d’amitié en dépend.

Quel est le rôle d'un auteur pour vous?
Pour moi, le rôle d’un auteur est précisément d’en avoir aucun. Je n’écris pas par idéologie. Je n’écris pas pour asséner des vérités. Je n’écris pas pour divertir. Je ne suis pas venu à l’écriture pour payer des factures, même si je l’accepterais volontiers ! Plus sérieusement, j’écris parce que je ne peux pas faire autrement. Je pense qu’avec un roman, l’auteur propose un rendez-vous dans un lieu public et que parfois ce lieu devient une place intime.
 

Je vous offre la possibilité de rencontrer l'auteur de votre choix, lequel choisissez-vous?
Si je pouvais rencontrer un auteur je souhaiterais faire le tour du Parc Montsouris avec Jacques Prévert.


Si vous pouviez ôter un défaut à l'humanité ..
Si je pouvais ôter un défaut à l’humanité, et bien ce serait Dieu.

Quel personnage de fiction aimeriez vous être ?
Si je pouvais être un personnage de fiction, je choisirais de devenir le coyote du cartoon. Pour régler définitivement son compte à Bip Bip.

La musique ou chanson qui vous donne des frissons?
La musique qui me fait frissonner (parmi tant d’autres) est Rio Ancho de Paco de Lucia. 


Avez-vous un projet en cours que vous aimeriez partager avec nous ?
Mon deuxième roman sort dans un mois chez Fayard. Je peux vous donner le titre en exclusivité : La femme-comète.

(petite précision de ma part depuis nous avons une date le 30 septembre avec en exclu la couverture !)

Un grand merci pour vos réponses, je vous laisse le mot de la fin.
Je tiens à vous remercier d’avoir passé du temps avec mon vieux con. Je profite de votre interview pour remercier également les libraires, et plus généralement, toutes les personnes qui ont défendu mon premier roman. A très bientôt.


vendredi 4 septembre 2015

L'Enfant-rien - Nathalie Hug

Ma "touche" perso:

RDV SUR MON NOUVEAU BLOG POUR LIRE L'ARTICLE !

Mon score:


Quatrième de couverture:

« Aussi loin que je me souvienne, je l’attendais assis, le menton sur les genoux, les bras autour des jambes et le dos appuyé contre la porte du placard. »Petit garçon étrange, Adrien guette chaque semaine l’arrivée du père de sa demi-sœur, dans l’espoir de recueillir un regard, une parole ou un geste tendre. S’il rêve d’un papa, Adrien veut surtout percer le secret de sa naissance, secret qu’il croit enfermé dans une boîte rouge, cachée hors de sa portée. Le jour où sa mère se fait renverser par une voiture et se transforme en « tas-de-fraises-à-la-crème », la possibilité d’une vie différente s’ouvre à lui. Mais Adrien, l’enfant-rien, peut-il vraiment trouver sa place dans une famille qui n’est pas la sienne ?

jeudi 3 septembre 2015

Je n'ai pas toujours été un vieux con - Alexandre Feraga

Ma "touche" perso:

RDV SUR MON NOUVEAU BLOG POUR LIRE L'ARTICLE !

Mon score:




Quatrième de couverture:

"On ne devrait jamais finir ses jours dans des draps en coton souples comme du carton, à suçoter des tuyaux comme des chiards ou à boulotter de la morphine. Je me suis toujours vu ailleurs, agonisant dans un champ de pâquerettes, chialant dans les bras d’une femme, évaporé dans le ciel après un beau feu."
Le "vieux con" qui vous parle passe pour un infatigable grincheux. Aux Primevères, la maison de retraite où il vient d’échouer, Léon renoue pourtant avec ce qu’il a toujours été. Ancien baroudeur, braqueur de banques, amoureux transi, cet amateur de coups tordus va, par amitié pour deux compagnons d’infortune, jouer un dernier tour à ceux qui croient encore qu’un vieux, ce n’est jamais qu’un… vieux.

mercredi 2 septembre 2015

Coeur cerise - Cathy Cassidy



C'est le premier mercredi du mois ...

Aujourd'hui, notre jeune lectrice, notre guest star n'est autre que ma chérie! Elle a choisi de nous parler du premier tome de la série "les filles au chocolat" écrit par Cathy Cassidy.


Quatrième de couverture  :

Cherry, 13 ans, et son père Paddy s’installent en Angleterre chez Charlotte, sa nouvelle compagne qui a quatre filles : Coco, 11 ans ; les jumelles Summer et Skye, 12 ans, et Honey, 14 ans. Cherry est ravie de faire partie d’une famille nombreuse. Mais, à peine arrivée, elle craque bien malgré elle pour Shay, le petit copain de Honey. Voilà qui ne va pas arranger la cohabitation déjà difficile avec Honey, la seule à ne pas accepter l’arrivée de son nouveau beau-père ! Alors que tous participent à la création d'une fabrique artisanale de chocolats, Cherry se retrouve partagée entre l’affection pour ses nouvelles soeurs et le charme irrésistible de Shay…

Eléane, 14 ans, Essonne



M : Raconte nous un petit peu ce roman:
E : C'est l'histoire d'une fille Cherry qui emménage avec son père Paddy chez sa belle-mère et ses 4 filles. Pour se faire accepter elle base sa vie sur des mensonges. Mais elle tombe amoureuse de Shay, le petit ami de Honey, et quand celle-ci le découvre, elle dit à toute la famille qu'elle a menti dès le départ.

M: Qu'est ce qui t'as le plus plu dans ce livre ?
E: Ce qui m'a le plus plu dans ce livre, c'est l'amour qu'il y avait entre Shay (le petit ami de Honey) et Cherry. Et aussi le fait que dans cette série de 6 livres à chaque nouveau tome c'est un autre personnage qui parle et qui continu l'histoire.

M: Y'a t'il un personnage rigolo, ou un auquel tu te serais identifié.
E: Non car chaque personnage a vraiment des qualités différentes mais pas les miennes. Mais quand on a 13 ans ou + , on se met à la place de tous les personnages de la série.


M: Qu'est-ce que tu dirais aux parents ou autres enfants de ton âge pour qu'ils lisent ce livre ? 
E: Je dirais à tout le monde que le livre est génial


M: comment as tu connu ce roman?
E: Un conseil de ma mère

M: Pour finir, donne une note au livre 
E: 5/5