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lundi 31 août 2015

A vous de trouver ma prochaine lecture !

Aujourd'hui, je vais vous demander ce que je vais lire pour le mois de septembre ???

Le mois dernier , c'était "Extrêmement fort et incroyablement près" qui avait remporté tous les suffrages, d'ailleurs ma chronique est ici ..

Donc voici les 5 romans présent dans ma PAL que je choisis de mettre en compétition ce mois-ci . Je vous ferais une chronique sur le roman qui aura été le plus plébiscité . Je vous laisse jusqu'à dimanche pour faire votre vote.

Voila ma petite sélection  :


L’un voit sa mère transformée en serial-killer, et se défend. Une autre s’endort en serrant la main sectionnée de son amant. Lui pense être téléguidé par la Lune, donc il poignarde sa mère. Et celui-ci torture son médecin parce qu’il aurait volé son âme… Tels sont les patients au psychisme morcelé évoqués par le Dr Magali Bodon-Bruzel, psychiatre, qui, dans cet ouvrage unique, apporte un éclairage nouveau sur ces sujets malades, quelquefois dangereux, et toujours en grande souffrance.
Qui sont-ils ? Qu’est-ce qui motive leurs actes ? Quelles sont les possibilités de soins ? Comment gérer le risque de récidive ? Autant de questions auxquelles l’auteur répond à propos de ces personnes chez lesquelles, malgré la gravité et l’apparence quelquefois monstrueuse de leurs actes, elle n’a jamais renoncé à trouver la part d’humanité.

Carl Belmeyer est une figure emblématique du paysage audiovisuel français. Présentateur du JT depuis plus de trente ans, il dissimule derrière son sourire une personnalité narcissique. Arrogant et manipulateur, il méprise tout le monde, à commencer par son public qui l’adore. Quand Barbara, une bimbo de l’émission de téléréalité Villa Story, meurt en direct sous les yeux horrifiés des téléspectateurs, le scandale secoue durement la chaîne. Elle doit rapidement redorer son blason et compte bien utiliser l’image charismatique de Belmeyer. Il redevient alors reporter de terrain et part couvrir la guerre civile qui fait rage au Liberia. Le message doit être clair pour l’audience : la chaîne se recentre sur l’essentiel.Mais rien ne fonctionne comme prévu, et Belmeyer, habitué à rester maître de sa vie, devient tout à coup spectateur contraint
9 juillet 1961.
Dès le lever du jour, il fait déjà une chaleur à crever. Albert est ouvrier chez Michelin. Suzanne coud ses robes elle-même. Gilles, leur cadet, se passionne pour un roman de Balzac. Ce jour-là, la télévision fait son entrée dans la famille Chassaing. Tous attendent de voir Henri, le fils aîné, dans le reportage sur la guerre d'Algérie diffusé le soir même. Pour Albert, c'est le monde qui bascule.
Saura-t-il y trouver sa place? Réflexion sur la modernité et le passage à la société de consommation, En vieillissant les hommes pleurent jette un regard saisissant sur les années 1960, théâtre intime et silencieux d'un des plus grands bouleversements du siècle dernier. 

«Ces hommes qui sont tous nés dans le même hôpital,
qui ont grandi ensemble, fréquenté les mêmes filles, respiré
le même air. Ils ont développé une langue à eux, comme
des bêtes sauvages.»
Ils étaient quatre. Inséparables, du moins le pensaient-ils.
Arrivés à l'âge adulte, ils ont pris des chemins différents.
Certains sont partis loin, d'autres sont restés. Ils sont devenus
fermier, rock star, courtier et champion de rodéo.
Une chose les unit encore : l'attachement indéfectible à leur
ville natale, Little Wing, et à sa communauté. Aujourd'hui,
l'heure des retrouvailles a sonné. Pour ces jeunes trentenaires,
c'est aussi celle des bilans, de la nostalgie, du doute...
Nickolas Butler signe un premier roman singulier, subtil
et tendre, récit d'une magnifique amitié et véritable chant
d'amour au Midwest américain.

Éloge de la faiblesse retrace un itinéraire intérieur, une sorte de conversion à la philosophie. L’auteur, handicapé de naissance, imagine recevoir la visite de Socrate en personne. Dès lors, s’ensuit un échange où de proche en proche émergent des outils pour apprendre à progresser dans la joie, garder le cap au cœur des tourments et ne pas se laisser déterminer par le regard de l’autre. La philosophie est ici un art de vivre, un moyen d’abandonner les préjugés pour partir à la découverte de soi et bâtir sa singularité. Peu à peu, une conversion s’opère, le faible, la vulnérabilité, l’épreuve peuvent devenir des lieux fertiles de liberté et de joie.
A vos votes !



EDIT : Suite à vos votes ma lecture sera donc Le carnaval des hyènes avec 8 voix ! (Retour à Little Wing 3 , L'homme qui voulait cuire sa mère 1, En vieillissant les hommes pleurent 1 et Eloge de la faiblesse 0)

Merci encore d'avoir participé ! on se donne RDV le mois prochain pour une nouvelle sélection !

L'avocat, le nain et la princesse masquée - Paul Colize

Ma "touche" perso:

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Mon score:




Quatrième de couverture:

Hugues Tonnon est un avocat respecté du Barreau bruxellois, spécialisé dans les divorces, les séparations douloureuses et les couples qui s’entretuent. 

C’est donc naturellement à lui que s’adresse Nolwenn Blackwell, le flamboyant top model belge qui a jeté son dévolu sur Amaury Lapierre, un capitaine d’entreprise de trente ans son aîné qui lui arrive au menton. 

Alors qu’un fastueux mariage se profilait, le riche héritier a été paparazzé dans les bras d’une strip-teaseuse, au bord de la piscine d’une villa tropézienne. 
Hugues Tonnon s’engage à défendre le célèbre mannequin, dîne en sa compagnie et la raccompagne chez elle pour sceller leur accord. 

Au petit matin, il se réveille chez lui, la police à sa porte. Nolwenn Blackwell a été assassinée, il est le dernier à l’avoir vu vivante et ne se souvient de rien. 

jeudi 27 août 2015

Tête à tête avec Angélique Barbérat



Angélique Barbérat est une grande dame ! C'est pour moi un grand honneur de la recevoir sur le blog. Un véritable coup de cœur pour cette femme rencontrée à Saint Maur en Poche cette année. J'ai pris son roman sur un coup de tête alors que j'assistais à une conversation entre mon ami Guillaume et Angélique Barbérat. Il émanait d'elle tant de gentillesse, de simplicité, de joie et encore tant d'autres sentiments que j'ai eut besoin de la découvrir. Et j'en suis heureuse car son roman "L'instant précis où les destins s'entremêlent"est superbe ! N’hésitez pas à lire la chronique ici .
Comme une rencontre comme celle-là n'est pas commune, partageons ensemble un petit moment d'intimité d'un auteur de grand talent !

Quelle lectrice "jeunesse" étiez-vous ?

Mes lectures jeunesse datent de quelques décennies, mais je garde le souvenir précis du Club des Cinq et de leurs aventures... Quelques scènes demeurent encore très précises dans ma mémoire... J'adorais !

Pouvez-vous nous parler du livre qui vous a le plus marqué?
Plusieurs livres me laissent un souvenir fort dans des registres différents. C'est difficile d'en extraire un. J'aime beaucoup : Blonde de Joyce Carol Oates. Je crois que c'est le dernier a m'avoir autant bouleversée.

Comment en êtes-vous arrivée à l'écriture ?
Je pense que l'écriture est en moi, comme la peinture vit chez un artiste peintre.

Dans quelles conditions écrivez-vous ?
J'écris éloignée de tout bruit. Je m'isole et me mets à écrire dès le matin, tôt.

Dans votre roman "L'instant précis où les destins s'entremêlent" vous abordez un thème difficile. Pourquoi ce choix?
 Je n'avais pas exactement prévu d'écrire sur le sujet des violences conjugales, il est venu à moi. Cependant, il y a très longtemps, j'avais déjà écrit sur ce sujet, une autre histoire qui n'avait rien à voir avec celle-ci. Je ne suis pas concernée dans ma vie personnelle, mais en tant que citoyenne et en tant que femme, je suis évidemment très concernée. On n'en parle jamais assez. Il faut que les victimes sachent qu'il existe des structures pour les aider et que ce sont elles, les victimes. La violence conjugale est inacceptable.

Pourquoi ne pas avoir situé le roman en France ?
C'est le genre de détails qui ne se discutent pas ! Les personnages arrivent avec ce qu'ils sont. On les accepte comme ils sont pour pouvoir écrire leur histoire, sinon, ils se sauvent !

Quel est le rôle d'un auteur pour vous?
Grande question... Le rôle d'un auteur est certainement multiple. Divertir, éclairer sur un sujet, faire rêver, informer, apporter une autre réflexion, émouvoir. Surprendre, créer quelque chose de réel avec une inspiration immatérielle. Les livres nous construisent un peu, non ?

Je vous offre la possibilité de rencontrer l'auteur de votre choix, lequel choisissez-vous?

 J'aimerais rencontrer Michel Houellebecq, Michel Onfray et Stephen King. J'aimerais bien prendre un café avec eux.

Si vous pouviez ôter un défaut à l'humanité ..
Je voudrais que les hommes soient dénués de toute cruauté.

Quel personnage de fiction aimeriez vous être ?
Peut-être Galadriel dans le Seigneur des Anneaux.

La musique ou chanson qui vous donne des frissons?
All by myself.

Avez-vous un projet en cours que vous aimeriez partager avec nous ?
Je travaille sur mon prochain roman. Je l'adore. J'ai beaucoup d'affection pour les personnages. Je suis heureuse de pouvoir écrire leur histoire et j'espère leur être fidèle. Ils m'apportent des émotions qui me troublent.

Un grand merci pour vos réponses, je vous laisse le mot de la fin.
Le mot de la fin... L'écriture est un partage et un lien invisible. Elle passe par les auteurs, voyage chez l'éditeur et tous les acteurs du livre pour aller jusqu'aux lectrices et lecteurs. Je vois tout au long de ce processus la magie de la création. Elle est la liberté.


mercredi 26 août 2015

Burn-Out - Didier Fossey


Paris. Avril 2014. Une série de vols d'objets d'art a lieu dans les cimetières parisiens. La police est sur le coup mais, lors d'une nuit de planque, un policier se fait assassiner. Pas de témoins. Peu d'indices. Ses collègues présents sur place n'ont rien vu. Boris Le Guenn, chef de groupe de la B.A.C. au 36 quai des Orfèvres, est saisi de l'affaire. Malgré son manque d'effectifs et plusieurs enquêtes à gérer, il devra en plus faire face à la descente aux enfers d'un de ses hommes... Le temps passe. Les vols se multiplient, les crimes aussi et les pistes sont dérisoires. Boris Le Guenn et son équipe doivent mener à bien ces affaires, non sans danger pour eux, tant sur le plan professionnel que personnel. C'est un monde désenchanté, un monde dans lequel l'histoire ne se termine ni bien ni mal, elle se termine c'est tout. Certains flics boivent pour oublier, d'autres ont une démarche plus radicale, violente, imprévisible. Burn out, nuits de planques et de filoches. Ça pue la clope, le sang et la sueur de ceux qui veillent sur la population. Ces flics, obsédés par leur boulot, à qui on demande de laisser au vestiaire leurs problèmes personnels, sont vite rattrapés par leurs démons et leur paquetage s'alourdit de quelques cauchemars...

Voici le regard croisé d'un roman ! Entre un invité et moi-même. Aujourd'hui, Guillaume du blog "Tribulations d'une vie"me fait le plaisir d'être mon invité. Guillaume, c'est mon pote de salons. Un véritable gentil avec un cœur énorme! Quelqu'un qui mérite d'être connu. (Un peu comme mon petit frère !). Et en plus son blog est super .. Bref à suivre et à aimer !!! 

Si tu te présentais.....

Guillaume :  Hello, moi c’est Guillaume et depuis maintenant 3 ans je me suis lancé dans l’aventure du blogging en ouvrant « Tribulations d’une Vie ». Depuis ce jour il a déménagé une fois mais il a surtout bien profité. Les nombreuses rencontres avec des amis aussi passionnés que moi ont eu pour impact une diversification de mes lectures. Alors qu’au début le blog ne se nourrissait que romans contemporains, aujourd’hui se sont ajoutés les thrillers/policiers mais aussi les romans Young Adult et peut-être bientôt une section jeunesse. C’est ma PAL qui va être contente.
Parfois je prends ma caméra et vous parle de mes lectures à travers une vidéo. Ça m’amuse beaucoup mais mon cœur penchera toujours pour l’écriture de chroniques.  


Pourquoi ce livre?

G Parce que cela fait maintenant plusieurs mois qu’il attendait sagement dans ma PAL. Lorsque Stéphanie m’a proposé une Lecture Commune et que nous avons fait la liste des titres que nous avions en commun, j’y ai vu l’occasion de découvrir ce roman qui me faisait envie depuis sa réception mais que je ne prenais pas le temps de lire. C’est chose faîte et j’en suis ravi.


M :  J'ai pioché dans la PAL de Guillaume. Il y en avait plusieurs en commun et notre choix s'est porté sur celui-là ! (je constate que l'on dit la même chose ....pffffff aucune imagination!)

L'auteur est-il un illustre inconnu pour vous ou au contraire un fidèle de votre bibliothèque ?

G : Malgré plusieurs romans publiés, « Burn Out » m’a fait découvrir l’auteur. Après quelques recherches, j’ai découvert d’autres titres de sa plume, Tr@que sur le web » en autre. Pourquoi ne pas se laisser tenter à l’avenir par ces autres publications.

M :  Je n'ai jamais rien lu de cet auteur. Après, j'ai lu quelques avis de ce roman sur les réseaux sociaux mais pas plus d'information ( ah si j'ai appris que c'est un ancien flic)

En un mot, votre ressenti …

G Instructif !

M :  Dramatique


Et si on devait approfondir en quelques lignes.

G En ouvrant « Burn Out » je pensais me plonger dans un bon polar français, le suivi d’une enquête policière au rythme soutenu. Il y a certes la présence de cette enquête mais selon elle n’est que secondaire, sans en être inintéressante pour autant. Elle sert de toile de fond à l’auteur afin qu’il nous expose les dessous du métier de flic, de l’impact de cette profession sur leur vie personnelle, sentimentale, familiale et surtout sur leur santé mentale. J’ai beaucoup apprécié d’être plongé dans cette intimité, dans l’envers du décor, de découvrir la face cachée et les risques du métier qui ne sont pas souvent exposés aussi explicitement. Un beau coup de maître pour un roman à la fois palpitant et émouvant.


M :   En dehors de l'histoire principale, une intrigue policière bien menée mais qui ne vous tient pas en haleine non plus, il y a surtout l'histoire de ces hommes et femmes qui jour après jour font leur travail au détriment de leurs vies. Petit à petit, ce boulot empiète sur un quotidien, sur une vie familiale, sur la vie en dehors du commissariat. Sournoisement, il isole ces policiers tout en leurs mettant une grande pression. Pression pour accomplir une tache difficile, pression d'un entourage en manque de la personne aimée et pression par une hiérarchie de plus en plus exigeante. Comment ne pas craquer ! Ce roman, est un cri du cœur. Je ne pourrais dire si c'est réaliste ou pas, mais lorsque l'on regarde le nombre de suicide (55 pour l'année 2014 d'après le gouvernement) j'aurais tendance à y croire. 

Serait-ce un livre que vous conseillerez ?

G :  
Sans hésitation, en prévenant que le contenu peut surprendre.


:  En toute honnêteté, je ne sais pas ! L'intrigue n'est, à proprement parlée, pas assez ardue et je ne suis pas certaine qu'il me reste en mémoire suffisamment longtemps pour lui faire une bonne pub. Toutefois si un jour, la conversation tombe sur la dépression et les conditions de travail des flics alors.....certainement.... 

Quel titre auriez-vous donné à ce livre si vous en étiez l'auteur ?

G : 
Exercice difficile. Je dirais « L’envers du décor » mais sans conviction aucune.

M :  A bout ! (je tiens à préciser à cet instant, que l'exercice n'est pas facile !!!! pour ceux qui se moque au fond de la classe !!!) 
Je viens de lire le commentaire de Guillaume et je trouve qu'il copie un peu, Maîtresse ......

Que pensez-vous de la couverture du roman ? est-elle bien choisie ?

G : 
J’aime beaucoup le travail des Editions Flamant Noir sur les couvertures de leurs publications. Celle de « Burn Out » ne déroge pas à la règle. Elle nous plonge bien dans l’univers de Didier Fossey dans ce roman.

M : Je la trouve très bien !!!! Le flic dans l'ombre, cette position des lettres du titre ...elle est assez attirante.

Disons que vous êtes avec l'auteur, fauteuil, café...L'ambiance parfaite pour des petites confidences. Vous êtes bien. Vous lui parleriez de quoi ?

G : 
Ma curiosité et mon intérêt pour les faits exposés dans le roman quant à la pression du métier de flic sur la vie personnelle me pousseraient à lui en demander plus sur son histoire personnelle et surtout sur son passé professionnel à la brigade anticriminalité de nuit du 13e à Paris. Est-ce que « Burn Out » est un livre confession ? Sont-ce des expériences vécues qui nous sont transmises dans cet ouvrage ? Quel est la réalité d’un flic de nuit ? Bref je pense qu’il n’y aurait pas beaucoup de silence si telle m’en était donnée l’occasion.

M :  Eh bien de "flics" justement ! L'auteur en est un ! je crois que même si on a arrêté ce boulot, on le reste d'une façon ou d'une autre ... Je lui demanderais en quoi ce travail est chronophage et si pour lui il y a moyen d'améliorer ces conditions de travail afin de mieux concilier la profession et la vie perso.

Le mot de la fin à l'invité du blog ...

G : 
S’il ne devait y en avoir qu’un, MERCI serait une évidence. Merci à Stéphanie pour cette petite lecture commune, fort sympathique. Toujours un plaisir d’entreprendre un projet avec elle ! Merci à Nathalie, grande prêtresse de Flamant Noir Editions qui m’a gentiment envoyé ce roman. Merci à Didier Fossey pour nous permettre de découvrir « l’envers du décor » (oui j’y tiens à ce titre finalement ^^).
Stéphanie je ne pense pas que tu me contredises si je termine en proclamant que nous avons atteint notre cible !!

dimanche 23 août 2015

L'instant précis où les destins s'entremêlent - Angélique Barbérat


                                      Ma "touche" perso:

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                                           Mon score:



Quatrième de couverture:

Une tache rouge sur l’oreiller, juste sous les cheveux de sa maman, morte sous les coups de son mari. Voilà ce que le petit garçon a vu, à cinq ans… Pour survivre, Kyle se jette à cœur perdu dans la musique, que sa mère aimait tant. Vingt ans après, devenu leader d’un groupe de rock, il est célèbre dans le monde entier. Mais inapte au bonheur.
Coryn, elle, a grandi dans une banlieue sans charme. À dix-sept ans, elle tombe dans les bras de Jack Brannigan, qui fou amoureux l’épouse, mais, jaloux et violent, l’enferme dans une prison dorée, "Parce que tu m’appartiens…" 
Comment ces deux êtres que tout semble séparer auraient-ils la moindre chance de s’aimer? Pourtant, à l’instant précis où les destins s’entremêlent, chacun d’eux sait que sa vie ne sera plus jamais la même.

jeudi 20 août 2015

Retour sur l'échange avec Ghislain Gilberti



Hier, j'ai eu le plaisir de participer au chat organisé par Frédéric Ernotte avec Ghislain Gilberti. (souvenez-vous je vous expliquais dernièrement ces rencontres gérées d'une main de maître par Fred juste là )

Je dois avouer tout de suite que je ne connais absolument pas l'auteur ... Les couvertures et les titres ne me sont pas inconnus, mais je n'ai jamais tenté le coup. C'est donc une super occasion pour moi de faire un peu plus connaissance et de découvrir son univers.

Nous prenons tous place dans ce salon virtuel, chacun avec son nom ou pseudo (nous sommes une bonne quinzaine tout de même ) et attendons l'invité d'honneur...bon il sera légèrement à la bourre.

Dans un premier temps (c'est un rituel nécessaire !) il lui est demandé de se présenter.
Je suis auteur de littérature en tous genres (de l'essai en passant par le roman noir et la poésie) mais je suis plus à l'aise aujourd'hui dans le monde du polar/thriller suite à ma première vraie publication aux Éditions Carrière
Je suis à l'aise dans les replis du corps social, les zones de non-droit, et de toutes les perversions de l'âme humaine.

Et cela à l'air de lui réussir, vu qu'il a déjà écrit 4 romans. Et cerise sur le gâteau nous apprenons :
je serai à Cognac. Mon troisième roman est en lice pour le prix du salon. Je serai ensuite à Vienne (Salon sang d'encre) avec une nomination possible et surtout à Montigny, en lice avec "Le Baptême des ténèbres pour le Prix du Meilleur Polar Francophone..

Dans la foulée, nous lui demandons ses autres présences dans les divers salons.
Je serai au Festival de Gray, de Belfort, de Besançon, plus quelques autres encore, en plus de Cognac/Vienne/Montigny. J'adore les salons qui me permettent de rencontrer mon lectorat, de dialoguer. Ce sont des moments magiques pour moi.

D'ailleurs, pour le suivre il nous avoue: Chez carrière, on me trouve des dates de salon et je me sers de Facebook pour communiquer les dates. Je ne suis pas assidu mais je m'arrange pour communiquer un max. Donc à bon entendeur ...Vous savez où chercher.

Puis vient la question du travail d'écriture à proprement parler. 
Alors beaucoup de papier au départ, de moins en moins à mesure de l'écriture. En principe, j'écris les matins, de 4H00 à 14H00 (ensuite je fais une sieste) et puis l'après-midi je relis mes écrits de la veille.Mais l'isolement est obligatoire. 
Purée, ça interpelle le coup des horaires !!! Du coup, on lui demande s'il a une activité professionnelle.
Non, plus maintenant... J'étais pierceur dans un grand salon de tatouage, mais j'ai choisi l'écriture à temps-plein. Ah bah voila tout s'explique !! 

Nous apprenons également qu'un de ses romans "Le Baptême des ténèbres" pour ne pas le citer, est pour l'instant soumis à la censure des Éditions Pocket pour cause d'ultra-violence. Il est assez étonnant de voir censurer de nos jours avec tout ce qui se passe dans les divers médias. A cela Ghislain répond : Le seul des trois livres qu'ils veulent censurer en poche est le préféré de mon lectorat. Est-ce normal ? Je ne crois pas. Je suis vraiment en désaccord avec eux. . Mais vu que que ce sont eux qui ont acheté les droits du premier et du troisième, reste à espérer que je gagne le prix en fin d'année. Là, ils ne pourront plus me censurer. Au pire ils collent un avertissement. Mais pas de censure en 2015.

Et voila la seule chose que nous arriverons à lui soutirer concernant son prochain roman ( donc cela reste entre nous) Drogue, Piraterie, Mâle-Alpha ....Le prochain devrait sortir en début d'année. Un roman qui va, je pense, remuer plus d'un cœur et d'une cervelle. Je suis sur la fin... Patience : ça arrive! Un truc de loup-garou corsaire et trafiquant ??? il vaut mieux attendre qu'il finisse de bosser dessus,car j'ai quelques doutes que cela tienne la route ;)
Toujours est-il que: On va retrouver mes personnages. C'est certain. Mais il se peut qu'entre temps, je développe d'autres persos qui viendront grossir les rangs de mes travaux en polar.

Terminons par la question loufoque de Fred ! si une licorne magique t’accordait un vœu littéraire, que demanderais-tu ? 
Un clone pour pouvoir écrire deux fois plus vite. 

Voila, c'est terminé mais si vous souhaitez connaître un peu plus Ghislain, je ne peux que vous conseiller d'aller lire les interviews de mon ami Yvan Interview ou directement sur sa page Facebook




samedi 15 août 2015

Extrêmement fort et incroyablement près - Jonathan Safran Foer


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Quatrième de couverture:

Oskar Schell est inventeur, entomologiste, épistolier, francophile, pacifiste, consultant en informatique, végétalien, origamiste, percussionniste, astronome, collectionneur de pierres semi-précieuses, de papillons morts de mort naturelle, de cactées miniatures et de souvenirs des Beatles. Il a neuf ans.
Un an après la mort de son père dans les attentats du 11 septembre, Oskar trouve une clé. Persuadé qu’elle résoudra le mystère de la disparition de son père, il part à la recherche de la serrure qui lui correspond. Sa quête le mènera aux quatre coins de New York, à la rencontre d’inconnus qui lui révèleront l’histoire de sa famille.
Après le choc de Tout est illuminé, cet étonnant objet littéraire et typographique explore à nouveau, mais sur un autre registre, les chemins d’une mémoire à jamais perdue.
Quand tout a été oublié, il ne reste plus qu’à inventer.

jeudi 13 août 2015

La maison où je suis mort autrefois - Keigo Higashino




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Quatrième de couverture:

Sayaka Kurahashi va mal. Mariée à un homme d’affaires absent, mère d’une fillette de trois ans qu’elle maltraite, elle a déjà tenté de mettre fin à ses jours. Et puis il y a cette étonnante amnésie : elle n’a aucun souvenir avant l’âge de cinq ans. Plus étrange encore, les albums de famille ne renferment aucune photo d’elle au berceau, faisant ses premiers pas... Quand, à la mort de son père, elle reçoit une enveloppe contenant une énigmatique clef à tête de lion et un plan sommaire conduisant à une bâtisse isolée dans les montagnes, elle se dit que la maison recèle peut-être le secret de son mal-être. Elle demande à son ancien petit ami de l’y accompagner. Ils découvrent une construction apparemment abandonnée. L’entrée a été condamnée. Toutes les horloges sont arrêtées à la même heure. Dans une chambre d’enfant, ils trouvent le journal intime d’un petit garçon et comprennent peu à peu que cette inquiétante demeure a été le théâtre d’événements tragiques... Keigo Higashino compose avec La Maison où je suis mort autrefois un roman étrange et obsédant. D’une écriture froide, sereine et lugubre comme la mort, il explore calmement les lancinantes lacunes de notre mémoire, la matière noire de nos vies, la part de mort déjà en nous.

mardi 11 août 2015

Une Photo un Livre !



J'aime la photographie et je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais une image ou photographie est pour moi un complément d'un livre. Un petit plus ... D'ailleurs lors de la lecture d'un roman, on voit plus d'une image dans notre tête ! Non !
J'arrive très souvent à retrouver l’atmosphère d'un bouquin que j'ai lu et de temps en temps (si le livre m'a vraiment plu) je me vois sourire et retrouver des personnages qui m'ont accompagné un moment. Car ce n'est pas parce que l'on a tourné la dernière page que certains personnages vont bien sagement se ranger dans ma mémoire ! Certains persistent, résistent jusqu'à finalement plier sous le poids des nouveaux ...
Mais ils restent attentifs à ce qui m'entoure, et vifs comme l'éclair, réagissent lorsqu'ils en ont la possibilité !


C'est pourquoi je voulais partager d'une façon différente ma vision d'une histoire !


Regardez cette photo prise par le photographe Jor El Son. Cette montagne que l'on voit tout au fond est le mont Mckinley en Alaska. On comprend les difficultés climatiques mais aussi cette espace de liberté, se désire de se rapprocher de la nature, cet immensément grand!  

Et voila où mon esprit s'évade et quel personnage ressort de cet espace. Malheureusement là c'est un personnage non fictif. Et la lecture de ce roman m'a, à l'époque, totalement bouleversé!



Je vous laisse la quatrième de couverture pour ceux qui ne l'ont pas lu :

Il avait renoncé au rêve américain. Pour vivre une aventure extrême. En 1992, le cadavre d'un jeune homme est découvert dans un bus abandonné en Alaska, au pied du mont Mckinley, loin de tout lieu habité. Fils de bonne famille, Chris McCandless aurait dû en toute logique devenir un américain bien tranquille à l'avenir sans surprise. Mais, dès l'obtention de son diplôme universitaire, il décide de partir à l'aventure. Après avoir fait don de ses économies à une œuvre humanitaire, il entame son périple sous un nom d'emprunt avec sa vieille voiture, qu'il abandonnera un peu plus tard. Il sillonne le sud des Etats-Unis, subsistant grâce à de menus travaux, avant de réaliser son grand projet: s'installer au cœur de l'Alaska, seul, en communion avec la nature. Mais on ne s'improvise pas trappeur, ni homme des bois... Ce parcours dramatique d'un jeune homme qui a voulu vivre jusqu'au bout son impossible idéal est retracé par Jon Krakauer, l'auteur du best-seller tragédie à l'Everest. Livre-culte dans le monde entier, Into the Wild a d'emblée fasciné Sean Penn, qui en a réalisé une adaptation cinématographique applaudie par la critique américaine.

Voila, j'espere que vous apprécierez cette nouvelle façon d'aborder un livre .... n'hésitez pas à réagir! D'ailleurs cette photo elle vous évoque quel roman?

lundi 10 août 2015

Le mystère des livres disparus - Ian Sansom




Ma "touche" perso:

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Mon score:




Quatrième de couverture:


Pour ce trentenaire londonien, replet, végétarien, féru de littérature, vêtu d'un costume de velours côtelé, portant de petites lunettes rondes cerclées d'or, les poches de son duffle-coat débordant de livres (au cas où...), devenir bibliothécaire était le rêve absolu.
Mais quand Israël Armstrong débarque à Tumdrum, en Irlande du Nord, pour prendre ses nouvelles fonctions, il est loin de se douter de ce qui l'attend.
Et pour cause : la bibliothèque vient de fermer définitivement pour être remplacée par un bibliobus (en fait, un vieux fourgon rouillé).
Mais, pire encore, les 15 000 livres de la bibliothèque ont mystérieusement disparu. Et c'est à Israël, devenu malgré lui le premier et sans doute l'unique bibliothécaire-détective au monde, que revient la charge de les retrouver.
Durant cette enquête aussi hilarante que loufoque, Israël devra faire face à une population mal aimable, peu coopérative et dotée d'un accent épouvantable. Sans compter que rouler en bibliobus sur les routes étroites du fin fond de l'Irlande n'est pas chose aisée lorsque l'on possède un sens de l'orientation quasi nul.
Allant de quiproquos en fausses pistes, finira-t-il par amadouer les habitants et à éclaircir le mystère des livres disparus ?

samedi 8 août 2015

Tête à tête avec Thiébault de Saint-Amand







Hier, je diffusais mon retour lecture de "Blue note pour héroïne brune" (ma chronique ici). Afin d'approfondir un peu notre découverte de cet auteur, Thiébault de Saint-Amand a bien voulu se prêter au jeu de l'interview . Un grand MERCI !



Quel lecteur "jeunesse" étiez-vous ?
Un pantagruélique lecteur. Né à la bonne époque, sinon les scribes en auraient eu des ampoules aux doigts. A l'école, je n'aimais que le français et l'histoire. Mes lectures enchaînées me poussaient à découvrir d'autres auteurs, mon intérêt encourageait mes profs à me présenter à des tas de challenges... où je gagnais des livres. Une bête à Goncourt quoi ! Maintenant que vous m'y faites songer, que des trucs sérieux à vrai dire. Mes bêtises littéraires viennent sans doute de là !


Pouvez-vous nous parler du livre qui vous a le plus marqué?
"Eusébio Ferrari, sa vie à l'aube de la résistance armée", un truc comme ça. Je devais avoir une douzaine d'années. Un livre vachement gai qui raconte l'histoire d'un gamin d'origine italienne, résistant et communiste. L'action se déroule chez moi, dans le nord, et il sera assassiné par les Allemands en 42 si je me souviens bien. Il avait 23 ans. Vous savez à présent que si je ne réussis pas ma carrière d'auteur, je ferai de la politique comme tout ceux qui ne savent rien faire de particulier. Dans ce cas-là, j'instaurerai une journée obligatoire dans les écoles à la mémoire d'Eusébio Ferrari. Oui, je sais. Du déjà vu. Nous avons tous notre héros à honorer, cela démontre la limite de l'exercice...

Comment en êtes-vous arrivé à l'écriture ?
Mon épouse et Benoit de la Bourdonnaye m'ont poussé à franchir le cap. Elle était déjà éditée par ses soins et Benoit ouvrait une nouvelle collection sous la direction littéraire de Laurent Bettoni : le Pulp. "Les dessous (en dentelle) de l'Elysée" étaient nés ! Je ne suis pas un exhibitionniste. Sans eux, je ne l'aurais jamais fait. Là-encore, j'aurais pu pondre un truc emmerdant sur la cinquième colonne et les affres du pouvoir, mais j'ai préféré la gaudriole. Certains lecteurs ne manquent pas de reconnaître quelques vérités ou caricatures de personnages. Leur imagination débridée, sans aucun doute permis...

Dans quelles conditions écrivez-vous ?
Toutes mes idées me viennent en voiture et toutes mes phrases sont des premiers jets. Je suis un fainéant. Il faut que j'entende une musique. Si je ne l'ai pas, je jette l'idée. Si ça sonne bien, elle est couchée et je n'y touche plus.


Dans votre roman "Blue note pour héroïne brune" pourquoi avoir choisi cette époque et ce style de langage ?
J'ai choisi les années 30, car notre époque a des similitudes qui font froid dans le dos. Nous connaissons les mêmes progrès importants dans les domaines ménagers, industriels, électroniques, dans la même ambiance guerrière que nous appelons aujourd'hui le terrorisme et gouvernés par les mêmes populistes qui, de l'extrême droite à l'extrême gauche, ont tous la solution idéale et innovante.. qui ne marche pas. En oubliant bien entendu de vous dire que notre destin est entre les mains d'un Poutine, d'un Trump... ou d'un consortium chinois qui pilote notre économie aux confins d'un trou paumé de la province du Hunan. Dans les années 30, certains ont fait confiance aux ligues, au Front Populaire, aux radicaux, aux mouvements pacifistes et la suite, on la connait. Le choix du langage, c'est une coquetterie. Le petit effort que je demande au lecteur pour entrer dans le monde particulier de Phil. C'est de l'argot léger, plus proche du langage fleuri que de toute autre tentative linguistique sérieuse. Anita Berchenko et les Editions du 38 ont pris une décision courageuse, car ce n'est pas le style le plus tendance actuellement.

Quel est le rôle d'un auteur pour vous?
Fédérer et divertir. Ecrire pour soi ou pour tata Renée qui vous trouve formidable en toute circonstance ne revêt que peu d'intérêt. Mais quand vous avez la chance de rencontrer quelques lecteurs qui vous disent qu'ils ont passé un bon moment avec votre histoire, là... C'est la raison pour laquelle je crois qu'il faut avoir le courage de se lancer, mais également celui plus difficile encore de savoir s'arrêter. Quand vous avez tout tenté et que cela ne fonctionne pas, ce ne sont jamais les lecteurs qui ont tort.

Je vous offre la possibilité de rencontrer l'auteur de votre choix, lequel choisissez-vous?
Ils sont tous morts ! Cela doit être ma déformation de jeunesse que je vous expliquais plus tôt, mais je n'arrive jamais à appréhender les personnages publics autrement que dans leur globalité. Avec les vivants, il me manque la fin. Qui nous dit que Marc Lévy ne finira pas sa carrière dans la tragédie grecque ou comme scénariste de luxe dans Picsou Magazine ? Quand ce genre de question taraude votre esprit, vous portez un regard différent sur vos rencontres avec les auteurs d’œuvres de l'esprit ou les hommes politiques dont l'esprit ne manque jamais pour leurs œuvres...


Si vous pouviez ôter un défaut à l'humanité ..
L'arrogance. Pendant des millénaires, l'homme s'est industrialisé, armé, éduqué pour conquérir des territoires et des pouvoirs, car il se croyait le meilleur et il a juste oublié le bonheur. Aujourd'hui, nous assistons au même concours pour des pluies acides, de la glace sur les pôles et la permanence d'eau douce abondante. Le destin de l'humanité repose sur de la flotte, du vent et quelques nuages, ça vaut bien une conférence où nous n'avons d'autre choix que de faire confiance à des bateleurs d'estrade aux profils et arrières pensées parfois inquiétants.

Quel personnage de fiction aimeriez vous être ?
Pas forcément pour ce que vous croyez, mais Hercule Poirot m'a fasciné dernièrement. Avec le nombre d'invitations qu'il reçoit dans des hôtels, manoirs et autres demeures bourgeoises, il aurait pu créer Tripadvisor et devenir millionnaire bien avant de se faire ronger par le diabète ou le cholestérol !

La musique ou chanson qui vous donne des frissons?
Si vous me parlez de frissons, le Chant des Partisans. I will survive n'est arrivé que très tard dans ma play list.

Avez-vous un projet en cours que vous aimeriez partager avec nous ?
En janvier, Hospice and Love sortira chez Hugo Roman. Cela n'a rien à voir avec mes deux séries, Mazelot et les Dessous (en dentelles) de l'Elysée qui continuent leur bonhomme de chemin dans leur style si particulier. La chance que me donne Franck Spengler cette fois-ci, c'est de vous proposer un "vrai" roman. Pas d'argot, pas de politique. Une histoire d'amours vieilles. A ma façon, quand même.

Un grand merci pour vos réponses, je vous laisse le mot de la fin.
Deux fois merci, Steph ! Merci d'abord de m'avoir reçu et d'avoir eu la curiosité de découvrir mon Philou. Merci aussi de m'avoir permis de répondre à vos questions. Et qui sait ? A bientôt !

vendredi 7 août 2015

Blue note pour héroïne brune - Thiébault de Saint-Amand

Quatrième de couverture:

Thiébault de Saint Amand vous propose une série historique, musicale et irrésistiblement coquine où l'argot et l'humour sont omniprésents.La première enquête de Phil Mazelot vous réserve bien des surprises? Qui aurait pu croire que Frédo mourrait un jour dans son lit ? Dans cette aventure passionnante au coeur de Paname, dans le milieu des maisons à lanternes, la belle Nadège succédera-t-elle à mama Élisa, la mère de Frédo, qui veut garder l'emprise sur le clac familial du Montparnasse ? Le bel Angelo et Mademoiselle trahiront-ils le secret chuchoté par Frédo sur son lit de mort ?

Ma "touche" perso:

RDV SUR MON NOUVEAU BLOG POUR LIRE L'ARTICLE !

Mon score:



jeudi 6 août 2015

Coup de projecteur sur LaBoîte

Troisième rendez-vous !!! 
Aujourd'hui, je vais m'attarder sur un projet un peu particulier. J'ai le privilège de faire partie des blogs partenaires de LaBoîte. Ah mais c'est quoi donc ??? Ne bougez pas, je vous explique tout ça !




LaBoîte est un salon virtuel qui accueil un auteur, ou un autre acteur du monde du livre, pour une durée d'une heure. Ce projet organisé par Frédéric Ernotte se déroule sur son blog. Tout le monde peut y accéder. Il a lieu environ une fois par mois et de nombreux messages sont diffusés sur Facebook et si cela vous intéresse je mettrai un lien sur la page FB du blog pour vous prévenir.

Qui est Frédéric Ernotte ?

Frédéric est un auteur mais pas seulement ! Frédéric Ernotte est né à Namur (Belgique) le 28 janvier 1982. Assistant social et journaliste de formation, ce jeune écrivain est un véritable touche-à-tout. C’est dans la boîte est son premier roman. Lien de son blog

Comment se déroule ce salon ?

C'est on ne peut plus simple. Il suffit de se rendre sur le blog de Frédéric, entrer son petit nom et suivre la conversation et pourquoi pas intervenir. Soit vous découvrez un auteur, soit vous êtes en terrain conquis, peu importe vous êtes libre. 
Tout commence par une petite présentation, par l'auteur, puis Frédéric pose la première question. Ensuite les participants sont libres de poser autant de questions qui leur passent par la tête. C'est bon enfant, convivial et enrichissant !

Mais il n'y a pas que des  auteurs à découvrir ! Non, Frédéric vous convie aussi à participer à des débats toujours autour du livre. Pour vous donner une idée des sujets, voila deux thèmes déjà abordés :  « Comment faire aimer la lecture aux jeunes ? » et « Que lisent nos amis du Québec ? » . Le point positif : papoter avec des personnes de tous horizons, traverser les continents et les rangs sociaux et ne faire qu'un pour une heure autour d'une même question, tout ça en restant sur son canapé ! 

Quels sont les auteurs déjà conviés ?

Le dernier en date était Samuel Sutra. Mais il y a déjà eut Charline Quarré,Guillaume Audru , Pierre GAULON. Ce n'est que le début ....

Un compte rendu sur les Blogs partenaires

Vous n'avez pas pu participer aux premiers chats (car oui c'est un chat ce salon!) pas de problème. Un des blogs partenaires (c'est là que j'interviendrai entre autre) vous fait un petit compte-rendu de cette séance.

Et hop un lien pour celui de Charline Quarré : le blog "Ce que Marguerite lit"
et celui de Samuel Sutra Le blog "Au pouvoir des mots"

Voila, serez-nous avec nous au prochain RDV ?

mercredi 5 août 2015

Les dragons de Nalsara,Tome 1 : Le troisième oeuf - Marie-Hélène Nelval


ATTENTION PLACE A LA JEUNESSE ...

Aujourd'hui, notre jeune lecteur a choisi de nous parler du premier tome de la série "les dragons de Nalsara" écrit par Marie-Hélène Nelval.


Quatrième de couverture  :

Sur l'île aux Dragons, où vivent Cham, Nyne et leur père, le Grand éleveur du royaume, trois œufs sont sur le point d'éclore...Les enfants sont tout excités : c'est la première fois qu'ils vont assister à une naissance de dragons ! Deux des œufs sont beiges; le troisième est d'un beau gris bleuté. C'est Nyne qui l'a trouvé sur la plage, et elle devine que ce bébé-là ne sera pas comme les autres...

 Un grand merci à ce jeune homme ...



Antoine, 6 ans, Normandie


M : Raconte nous un petit peu ce roman:
A: Cham et Nyne trouvent des œufs de dragon.

M: Qu'est ce qui t'as le plus plu dans ce livre ?
A: J'aime bien parce qu'il y'a des dragons. Ils sont gentils avec Cham et Nyne.

M: Y'a t'il un personnage rigolo, ou un auquel tu te serais identifié.
A: Ouais, Cham il me ressemble.

M: Qu'est-ce que tu dirais aux parents ou autres enfants de ton âge pour qu'ils lisent ce livre ? 
A: De regarder ce papier.

M: N'hésites pas à dire s'il y a de jolis dessins ou images, les couleurs ou écritures rigolotes, une 
originalité.
A: Oui de grands dessins avec des dragons, des élusims,des méchants.

M: comment as tu connu ce roman?
A: A la bibliothèque. Après maman a acheté les autres.

M: Pour finir, donne une note au livre 
A: Super trop génial!


Petit message complémentaire de la maman d'Antoine :
Il n'y a pas de méchant avant le tome 3. Sinon le reste est cohérent avec le premier tome.
Il est inscrit à partir de 9 ans, mais ça passe très très bien avec un lecteur plus jeune qui a un bon niveau de lecture.