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vendredi 27 février 2015

Tête à tête avec Olivier Norek



Olivier Norek est l'auteur de Code 93 et de Territoires, son  dernier roman paru chez Michel Lafon fin 2014. Je voulais mettre un peu sa bio, histoire que vous sachiez à qui vous avez affaire. Donc direction le site de Michel Lafon, voila ce que l'on trouve :
Olivier Norek est lieutenant de police à la section Enquête et Recherche du SDPJ 93 depuis quatorze ans. Code 93 est son premier livre.

un peu pauvre !!! Ce n'est pas grave, on va répondre à toutes vos questions :) et puis, pour les petits curieux, vous avez sa page Facebook que je vous invite à découvrir et aimer ici et ma chronique 



Quand on lit un peu ta bio, on se demande pourquoi le lieutenant de police a le désir de devenir écrivain ? Est-ce une sorte de thérapie, un exutoire ou au contraire tu t'es dit qu'avec le vécu tu connais les bases d'un bon polar ?

Si je ne me trompe pas, écrivain, c’est écrire des histoires… et des histoires, quand on est flic depuis 16 ans, on en a plein sa plume… Alors qui de mieux indiqué qu’un flic pour raconter tout cela ? Un exutoire ? Absolument pas. Les policiers n’ont pas tous besoin d’une thérapie par l’écriture. C’est une idée qui vient de ceux qui ne sont pas dans le métier et qui se disent qu’à force de voir des horreurs on doit obligatoirement être cabossés et aigris… Non, pas tous. Certains ont appris à faire la différence entre le job et la vraie vie, histoire de ne pas ramener de fantômes à la maison. Voilà. J'ai fait mon malin. Les flics ont une super carapace. Maintenant, la vérité, c'est qu'un fantôme, chaque flic en à un. Une victime à qui l'on a pas rendu justice. Un salaud toujours dehors. Un truc qui squatte un peu la conscience. 


En tant que lectrice, j'ai un peu le sentiment que tu souhaites nous faire comprendre les rouages du métier, tout est précis, décortiqué pour nous permettre de suivre l'enquête (jusqu'aux abréviations ). Est-ce un manière de montrer les difficultés du métier et ainsi d'améliorer l'image qu'il a auprès du grand public ?

C’est précis, méticuleux, ordonné… parce que c’est comme cela que se fait une enquête. Mon flic est un vrai flic, il agit comme tel et suit les règles (la plupart du temps). Ce n’est pas le commissaire Adamsberg de Vargas qui n’agit qu’au flair et navigue à l’intuition. 

Lors de la lecture de ton premier roman (je ne me suis pas encore lancée dans Territoires), on se rend compte que tu es très attaché au département 93. Que tu le connais bien . Je suppose que c'était plus facile, ou plus rassurant, pour toi de situer l'action là où tu as fais toute ta carrière professionnelle ? Mais pourquoi ne pas justement avoir situé l'action dans un autre département, et t'éloigner de tous ces drames vécus?


Je ne suis pas spécialement attaché au 93, mais je le connais si bien qu’il aurait été un peu téméraire de situer mon enquête ailleurs. J’ai d’autres flics dans la tête, d’autres Coste, et ceux-là, je vous promets qu’ils ne mettront pas les pieds en Seine Saint Denis.

D'ailleurs, la description des lieux (rues, cités, commissariat ...) sont important dans le roman. Cela ramène le lecteur à un constat d'abandon. Etait-il important pour toi de faire passer un message  par rapport à ce département?


Le 93 est le paillasson de Paris. On ne s’y intéresse que quand des gamins y ont foutu le feu… le reste du temps, on s’essuie les pieds dessus… Le 93 c’est un laboratoire. Vous pouvez y faire une découverte qui change la société, ou mal doser les ingrédients et que tout vous saute au visage. Le 93 c’est un enfant turbulent, hyper actif… oui, parfois il est exaspérant, mais il vit, il existe, il alimente la culture, il alimente les faits divers… bizarrement, je m’y sens mieux que dans un département musée comme Paris.

Comment construis-tu ton roman, tu as une trame de départ ou tout se met-il en place au fur et à mesure de l'écriture ? Est-ce que tes personnages sont « fichés » eux aussi pour faciliter la composition de ton roman ?

J’ai toujours peur d’imposer au lecteur 400 pages et un final qui déçoit. Je suis un craintif du « tout ça pour ça ? »… Donc, je trouve d’abord l’intrigue et avant même de me lancer je trouve mon final. Qu’il soit explosif, surprenant, dérangeant… Concernant mes personnages, j’y accorde une importance supérieure à l’intrigue en elle même. Ils sont le cœur du roman, ils ont plutôt intérêt à battre correctement. Pour les connaître mieux, j’écris une nouvelle sur chacun d’eux, un document qui ne fait pas partie du livre mais qui me permet de savoir qui ils sont, comment ils réagissent, comment ils parlent, leur vocabulaire, leurs attitudes… si bien qu’ils sont déjà vivants avant même la première ligne.

Pour les petits curieux que nous sommes, peux-tu nous décrire un peu ton environnement lors de l'écriture de tes romans ? Es-tu un ours qui hiberne dans sa caverne ou au contraire tu t'installes à une terrasse ? Un bruit de fond , marteau piqueur ou symphonie ?


Silence. Café. Clopes. Mon salon ou la bibliothèque du Centre National de la Danse, très calme.
Si je mets de la musique, alors le texte en sera influencé… La musique c’est déjà une histoire que l’on me raconte. Je ne vis jamais sans musique, sauf quand j’écris.

Pour t'avoir rencontré lors de divers salons littéraires, je me suis aperçue que tu prends un réel plaisir à échanger avec les autres auteurs et les lecteurs. Alors quand deux auteurs se rencontrent, ils parlent de quoi ???

Je préfère largement échanger avec les lecteurs qu’avec les auteurs. Bien sûr j’ai mes chouchous, Nicolas Lebel, Claire Favan, Jacques Saussey, Thilliez, François Xavier Cerniac, Sandra Martineau, Hervé Commères, Dorothée Lizion et j’en passe… mais même si ils sont tous charmants, je préfère de loin parler avec les lecteurs ou futurs lecteurs. Echanger sur les livres, les miens, ceux des autres et sur le métier de flic qui passionne toujours autant les gens.

Je suppose que tu as pleins de projets (que se soit littéraire ou télévisuel), peux tu nous en parler un peu ? Si tu as un scoop on est preneur !!

Tu connais la légende du mauvais œil ? Tu sais, c’est celle qui dit que plus tu parles d’un projet, moins tu as de chances qu’il se réalise… En gros, des pistes ciné et télé et aussi le troisième Coste qui germe dans mon cerveau…

Penses-tu un jour nous surprendre avec l'écriture d'un roman autre qu'un thriller, comme Donato Carrisi dernièrement avec son huis-clos plutôt convainquant.

Tu connais la légende du mauvais œil ? Plus sérieusement, c’est un de mes buts. Si j’écris des polars, c’est uniquement parce que je suis policier et que tout le monde a pensé que ce serait une bonne idée… alors je me suis lancé sur Code 93, puis Territoires. Mais j’espère vraiment pouvoir sortir du monde policier un jour ou l’autre.

Et si tu nous racontais un peu quel lecteur tu es. Un flic arrive t'il à lire des polars sans avoir un œil trop critique ?

Tu serais étonné de ces nouveaux flics… Ils ont mis au placard le policier alcoolique, dépressif et un peu bas de plafond. Ils ont tous, deux ou trois bouquins sur leur bureau et un bagage scolaire assez intimidant. Donc, oui, les flics lisent… et pas que des polars. Quand un flic lit ou regarde un polar, il se dit que c’est une histoire, qu’on sera loin de la réalité, sinon on ne regarde plus, on analyse. C’est un peu comme ça que l’on lit un Vargas ou que l’on regarde un Braquo. On passe un bon moment hors de la réalité. Seule la série "Engrenages" respecte la réalité... 

Les réseaux sociaux te soutiennent de plus en plus, tu as reçu la Plume d'Argent pour Territoires (reconnaissance des lecteurs ), Tout ne fait que commencer ! Que peut-on te souhaiter pour la suite ?


Une traduction à l’étranger me rendrait fou de joie. Un peu plus de lecteurs aussi… écrire un livre, c’est l’envie qu’il soit dans toutes les bibliothèques. C’est un peu orgueilleux, je sais, mais si on ne vise pas très haut…

Je te laisse finir, une dernière bafouille ...

Alors si tu me laisses le dernier mot, j’en profite pour remercier l’incroyable travail des blogs de critiques et de chroniques littéraires. Vous êtes un moteur stupéfiant, un bouche à oreille qui peut parfois sauver un livre… Je sais que Territoires et Code 93 vous doivent énormément.


 


lundi 16 février 2015

Code 93 - Olivier Norek

Quatrième de couverture : 

Coste est capitaine de police au groupe crime du SDPJ 93. Depuis quinze ans, il a choisi de travailler en banlieue et de naviguer au cœur de la violence banalisée et des crimes gratuits. Une série de découvertes étranges – un mort qui ouvre les yeux à la morgue, un toxico qui périt par autocombustion – l’incite à penser que son enquête, cette fois-ci, va dépasser le cadre des affaires habituelles du 9-3. Et les lettres anonymes qui lui sont adressées personnellement vont le guider vers des sphères autrement plus dangereuses… Écrit par un lieutenant de police, 93 Code zéro se singularise par une authenticité qui doit tout à l’expérience de son auteur ; cette plongée dans un monde où se côtoient aménagement urbain et manipulations criminelles au sein des milieux politiques et financiers nous laisse médusés.


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Point d'impact :

"[...] On commence par les tours nord et on fera retour par les sud.
- Tu te la joues pisteur indien? C'est où, le nord?
- Lève les yeux et cherche les paraboles sur les fenêtres, elles sont toutes dirigées vers le sud, c'est une constante. Maintenant que tu sais où est le sud, ça va aller pour trouver le nord?
- A tes ordres, Pocahontas.
 "


"La télévision n'offrait de toute façon rien d'autre. Séries sur les flics, films sur les flics, reportages sur les flics. Il n'avait jamais compris pourquoi les gens les détestaient autant en vrai qu'ils les adoraient en fiction."


Palmarès de l'AUTEUR:


Olivier Norek est lieutenant de police à la section Enquête et Recherche du SDPJ 93 depuis quatorze ans. Code 93 est son premier livre.

N'hésitez pas à lire mon interview de l'auteur ici : interview Olivier Norek

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jeudi 12 février 2015

Autobiographie d'une courgette - Gilles Paris

Quatrième de couverture : 

"Depuis tout petit, je veux tuer le ciel". Ainsi commence l'histoire racontée par Icare, un petit garçon naïf et inculte, surnommé Courgette, qui, à neuf ans, vit à la campagne avec sa mère. 
Depuis son accident, la mère de Courgette ne travaille plus à l'usine et boit des bières en regardant la télévision du matin au soir. Elle s'occupe peu de son fils qui n'apprend rien à l'école et joue seul pour la plupart du temps. 
Les rares dialogues échangés passent par la télévision, source d'inspiration de Courgette qui ne connaît la vie qu'à travers le petit écran. 
Un jour, Courgette découvre un revolver et tue accidentellement sa mère. Le juge le déclare "incapable mineur" et Courgette est envoyé dans une maison d'accueil. Mais pour Courgette, contrairement aux autres enfants, la maison d'accueil est loin d'être "une prison". 
L'apprentissage d'une vie passe désormais par les Fontaines et tous les rêves de Courgette deviennent possibles


Ma "touche" perso :


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Point d'impact :

"Des fois, les grandes personnes faudrait les secouer pour faire tomber l’enfant qui dort à l’intérieur. "


"On va s'asseoir dans l'herbe au bord de la rivière.
- T'as pas froid ? dit Raymond.
- Non.
Et il enlève son blouson et il m'enveloppe dedans.
Des fois les grandes personnes, ça écoute que dalle."



Palmarès de l'AUTEUR:


Gilles Paris est un écrivain français. 

Il est tout d'abord fonctionnaire au ministère de la Jeunesse et des Sports dans le service "documentation", puis journaliste dans le domaine du cinéma et de la musique pour la presse populaire. Il est ensuite attaché de presse dans l'édition, d'abord chez Jean-Claude Lattès et Plon, puis pour son propre compte.

Son premier roman, "Papa et Maman sont morts" (1991, Le Seuil), a été adapté au cinéma, et le suivant "Autobiographie d'une Courgette" a été traduit en plusieurs langues et s'est vendu à plus de 150 000 exemplaires. Il a d'ailleurs fait l'objet d'une adaptation pour la télévision, réalisée en 2007 par Luc Béraud, intitulée "C'est mieux la vie quand on est grand" avec Daniel Russo dans le rôle du gendarme.

"Au pays des kangourous" sorti en 2012 reçoit de nombreux prix: 
le Prix Cœur France 2012, le Prix Roman de la ville d’Aumale 2012, le Prix des lecteurs de la bibliothèque Goncourt 2012, le Prix Folire 2012 et le Prix Plume d’Or 2013 (Plume libre - catégorie romanesque).

En 2014 sort "L'été des lucioles". 

Son prochain roman est prévu pour janvier 2016.


Site officiel de l'auteur (n'hésitez pas à faire un tour pour lire les 6 nouvelles disponibles )

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mercredi 11 février 2015

La petite félée aux allumettes - Nadine Monfils

Quatrième de couverture : 

À Pandore, il se passe de drôles de choses... Chaque fois que Nake, une jeune fille un peu barrée, craque une allumette, elle a des visions affreuses de petites filles assassinées déguisées en Blanche Neige ou en Chaperon rouge. Mais là où ça se corse, c'est quand elle découvre le lendemain dans les journaux que ces crimes ont bien eu lieu...
L'inspecteur Cooper, qui a de curieuses manies, et son collègue Michou, flic le jour travelo la nuit, vont mener l'enquête. Tout irait bien si l'infernale mémé Cornemuse ne venait pas flanquer la pagaille. Fan d'Annie Cordy et amoureuse de Jean-Claude Van Damne, avec qui elle « cause » depuis ses vacances avec un serial killer, l'horrible punaise sans scrupules revient, pire que jamais. Ça va barder ! 


Ma "touche" perso :


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Point d'impact :

"
C'est pas une insulte, c'est une vérité. Quand on est con, on a souvent besoin des autres pour le savoir "

"- Vous êtes vraiment fêlée !
- C'est ton avis, mais je ne le partage pas."


Palmarès de l'AUTEUR:


Nadine est belge, écrivain, réalisatrice et productrice. Elle vit entre Montmartre et la Belgique.
Journaliste (chronique polars) dans Focus (suppl. du Vif /L’express) Belgique.
A donné des ateliers d’écriture/polars dans les prisons (Valence, Rouen…)
Et des cours de scénarios + écriture théâtrale au Parallax (école de comédiens à Bruxelles) ainsi qu’à l’Université européenne d’écriture en Belgique.
A dirigé une galerie d’Art à Bruxelles pendant 7 ans.
– Babylone Dream – Prix du polar (Cognac)
– Nickel Blues  - Prix des lycéens de Bourgogne 
– Coco Givrée : Prix de la ville de Limoges (2010)
– La vie en rose : Prix jeunesse des lectures publiques
– Les fleurs brûlés : Prix jeunesse des lectures publiques
– Prix de "La griffe Noire" pour l'ensemble de son oeuvre.

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                                             Je vous laisse compléter avec le lien du site de l'auteur ..


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dimanche 8 février 2015

L'atelier des miracles - Valérie Tong Cuong


Quatrième de couverture : 

Prof d’histoire-géo mariée à un politicien narcissique, Mariette est au bout du rouleau. Une provocation de trop et elle craque, envoyant valser un élève dans l’escalier. Mariette a franchi la ligne rouge.
Millie, jeune secrétaire intérimaire, vit dans une solitude monacale. Mais un soir, son immeuble brûle. Elle tourne le dos aux flammes se jette dans le vide. Déserteur de l’armée, Monsieur Mike a fait de la rue son foyer. Installé tranquillement sous un porche, il ne s’attendait pas à ce que, ce matin, le « farfadet » et sa bande le passent à tabac.
Au moment où Mariette, Millie et Mike heurtent le mur de leur existence, un homme providentiel surgit et leur tend la main – Jean, qui accueille dans son Atelier les âmes cassées, et dont on dit qu’il fait des miracles.
Mais peut-on vraiment se reconstruire sans affronter ses fantômes ? Avancer en se mentant et en mentant aux autres ? Ensemble, les locataires de l’Atelier vont devoir accepter leur part d’ombre, tandis que le mystérieux Jean tire les ficelles d’un jeu de plus en plus dangereux.


Ma "touche" perso :


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Point d'impact :

"
il y a longtemps que j’ai compris que l’ignorance est plus dangereuse qu’une grenade dégoupillée "

"Je pense que l'amour est une lumière, je l'ai vérifié, constaté, l'amour a éclairé 
ma vie environ dix- huit mois, j'ai vu apparaître tout ce qui m'était caché jusque là, j'ai su qu'il n'existait pas de sentiment supérieur.
Lorsqu'il a disparu, tout est devenu plus terne qu'un automne sans fin.
Je peux le dire aujourd'hui : l'amour mort vous terrasse et vous cimente le coeur."



Palmarès de l'AUTEUR:

Valérie Tong Cuong est un auteur Français qui a écrit une dizaine de romans.
Elle est traduite dans une douzaine de langues.
En tant que scénariste, elle a travaillé sur différents sujets télévision (sitcom, téléfilm) ou cinéma.



  • Big récompensé au festival du Premier roman de Chambéry
  • Providence, Prix Version Femina-Virgin Megastore du Roman 2008
  • L’Ardoise magique,Prix Dynamique au Fémin’Ain 2010
  • L’Atelier des miracles,   prix du Livre Optimiste 2013
  • Pardonnable, impardonnable, sont dernier roman

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mercredi 4 février 2015

Jours parfaits - Raphael Montes

Quatrième de couverture : 

Téo, étudiant en médecine légale, passe le plus clair de son temps au laboratoire de la faculté à disséquer des cadavres. Il sort peu et ne s'intéresse pas aux femmes, jusqu'au soir où il rencontre Clarisse. Ils n'ont qu'un bref échange, mais la jeune femme l'obsède et Téo commence à la suivre. Lorsqu'il apprend qu'elle s'apprête à partir plusieurs mois, il ne voit qu'une solution pour éviter la séparation : la kidnapper, la droguer et la séquestrer loin de tout. Une fois à sa merci, il aura le temps de lui prouver qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Et il s'assurera que rien ni personne ne vienne entraver leurs jours parfaits.


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Point d'impact :

"
Il n'aimait personne, ne nourrissait aucun attachement pour personne, n'éprouvait aucun manque, aucune nostalgie, aucune aspiration : il se bornait à vivre."



Palmarès de l'AUTEUR:

Raphael Montes est né en 1990 à Rio de Janeiro où il a suivi une formation d’avocat.

Passionné par le genre policier, il a publié des nouvelles dans plusieurs revues, dont le prestigieux magazine américain Ellery Queen Mystery Magazine. 
Son premier roman, Suicidas, lui a valu d’être sélectionné pour un grand nombre de prix, dont le prestigieux Prix São Paulo de Littérature.
Jours parfaits, son second roman, est déjà un best-seller au Brésil. Il sera publié dans neuf pays et adapté au cinéma par le producteur brésilien Rodrigo Teixeira (Frances Ha, Night Moves). 

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Si vous lisez le Portugais !

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Jamais vu un cadeau aussi nul ! - Gerard Moncomble


Enfin le 1er mercredi du mois de février !  Maintenant, vous commencez à connaître notre rendez-vous avec les enfants...

Aujourd'hui, ma petite "readeuse" a choisi de nous parler du livre "Jamais vu un cadeau aussi nul !" de la série Moi, Thérèse Miaou écrit par Monsieur Gérard Moncomble et illustré par Monsieur Frédéric Pillot. 


Quatrième de couverture :

D'accord, j'adore les cadeaux ! Mais les beaux, les rigolos ! Pas les horribles, les épouvantables ! Et ce truc-là, zéro ! C'est à hurler ! Tu sais quoi ? Je vais le ratatiner !


 Un grand merci à cette jeune fille ...




LOUISA,  4ans et demi , Midi pyrenées, France

Moi : Qu'est ce qui t'as le plus plu dans ce livre pour vouloir nous en parler ?
Louisa :  Le papa, la maman et Suzanne crient bon anniversaire au chat Thérèse. Ils ont fait une chatière avec un nœud orange.

Le papa se fâche parce que Thérèse veut pas sortir par la chatière, elle préfère la fenêtre et la porte, il dit : tu sors où tu veux faire la guerre !!!

J'ai aimé que la maman mette les croquettes dehors et que papa mette la litière dehors et quand les trois amis de la chatte de Suzanne sont venus et sont entrés dans la chatière.
Ils ont mis le bazar dans la maison, papa a renversé un seau pour les mouiller et maman les a fait sortir à coup de balai.

J'ai aimé la fin aussi quand on faisait les jeux après l'histoire.

M :Y'a t'il un personnage rigolo, ou un auquel tu te serais identifié (qui te ressemblerai)
L Plutôt Suzanne parce Suzanne a un chat et moi aussi, la mienne fait des bêtises pareil.
Thérèse existe en vrai.

M: Qu'est-ce que tu dirais aux parents ou autres enfants de ton âge pour qu'ils lisent ce livre ?
LMes copains et mes copines j'aimerais qu'ils lisent ma chronique c'est un peu comme si je faisais un cadeau.
Je voudrais qu'ils connaissent ce livre comme ça ils pourront l'acheter.

M: Y a t'il de jolis dessins ou images, les couleurs ou écritures rigolotes, une originalité ?
Lj'aime les dessins et les couleurs, Thérèse ressemble a la vraie chatte, elle est au fond du livre (en photo), noire et blanche.

M : Dis-moi, comment as tu connu ce roman?

L : Papa m'en a prit plein au salon du livre à Agen. J'ai plein de Thérèse.

M: Pour finir, si tu dois lui donner une note de 1 à 5, ce serait ..... 
L : 5 :C'est génial génial génial génial génial génial


Louisa nous offre en plus une photo de sa dédicace .... Elle a tout d'une grande choniqueuse cette puce .... on se demande bien qui est sa maman ......Allez je cafte Louisa est la fille de Loley du blog "Le shoot de Loley"