Quatrième de couverture:
Chez les Monferreau, quand on aime son grand-père, on en reprend au dessert !
Pourtant, il serait plutôt vieille carne que doux agneau, Victor. Déformation professionnelle. Du temps de sa splendeur dans la vie active, il était tortionnaire. Ça laisse des traces. De sang, bien sûr, mais aussi psychologiques. Et génétiques, a priori. Ce cher démon se retrouve ainsi à la tête d’une horrible famille qu’il mène à la baguette et dont les membres sont tous plus dérangés du ciboulot et pervers les uns que les autres. Ils vivent sous le même toit, dans une grande maison des horreurs à l’intérieur de laquelle ils peuvent commettre les pires méfaits. C’est qu’ils sont sept, les Monferreau, comme les péchés capitaux. Voilà qui en dit long.
Alors malheur à ceux qui croisent leur route. Malheur à Anne et Ludo, une sœur et un frère en cavale, que le destin pousse en ces terres maudites et qui, bien contre leur gré, vont faire éclore un à un, comme autant de fleurs vénéneuses, les pires secrets de ces horribles gens. Mais ne croyez rien de ce que vous lirez, n’ayez confiance en personne, doutez de tout et de tous, y compris de votre raison.
Une seule chose est sûre : malheur à ceux qui tombent aux mains de la tribu. On vous aura prévenus.
Les séries littéraires de la collection « Pulp » sont conçues comme des séries télévisées, avec plusieurs saisons de six épisodes chacune, chaque épisode étant écrit pour un temps de lecture moyen de 15-20 minutes. Les six épisodes à l'unité ainsi que les intégrales de chaque saison, aux formats électronique et papier, sont proposés simultanément le jour de la parution.
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