Cette nouvelle de Pétrosky, nous embarque en avril 1945. Sous forme fantastique, il nous relate un fait historique qui fait encore parler de lui..Et oui encore tout récemment un article conteste la chute de ce personnage responsable d'une sombre période. D'ailleurs, l'auteur prend la liberté de la modifier également, pour notre plus grand plaisir ! Entre nous, je préfère sa morale, sa fin est plus symbolique.
Un personnage, dont on ne connait rien, voyage dans le temps et se retrouve spectateur, tel un convive fantôme, d'un mariage. Ambiance très glauque, sombre, on ne retrouve pas la fièvre des jeunes mariés face à leur destin, leur amour. Quelque chose plane au dessus de leurs têtes !
Un huis clôt donc très agréable à lire. Ces nouvelles sont toujours trop courtes à mon goût !
Mais quand va t'il nous pondre un roman ?? C'est qu'il met l'eau à la bouche tout de même avec toutes ses sucreries ....
Un huis clôt donc très agréable à lire. Ces nouvelles sont toujours trop courtes à mon goût !
Mais quand va t'il nous pondre un roman ?? C'est qu'il met l'eau à la bouche tout de même avec toutes ses sucreries ....
Allez pour patienter, lisez :
Haine 13
La Vengeance de Wandu
La voyageuse sans retour
Mon score:
Quatrième de couverture:
Assis en face du lit conjugal, je les ai vus passer à la salle de bain chacun à leur tour, revenir se glisser sous la couette et se souhaiter bonne nuit. Encore une fois, même pas un baiser. Mais j’avoue que de l’avoir vu, lui, dans sa tenue de nuit, cela m’aurait presque arraché un éclat de rire, ce pyjama grotesque à rayures, et dire que je n’avais pas d’appareil photo avec moi, quel con !
Je ne savais pas que les « ectoplasmes voyageurs temporels » dans mon genre dormaient, je me suis assoupi…
On se laisse embarquer dans cette histoire frisant le fantastique par un Petrosky au mieux de sa forme romanesque. Une manière de révéler les dessous d’un événement historique qui n’a pas fini de livrer son énigme…
Haine 13
La Vengeance de Wandu
La voyageuse sans retour
Mon score:
- Originalité
- Facilité de lecture
- Charge émotionnelle
- Dépaysement
- Addictif
- Instructif
- Absence de longueur
- Humour
- Crédibilité
- Coup de cœur
Quatrième de couverture:
Assis en face du lit conjugal, je les ai vus passer à la salle de bain chacun à leur tour, revenir se glisser sous la couette et se souhaiter bonne nuit. Encore une fois, même pas un baiser. Mais j’avoue que de l’avoir vu, lui, dans sa tenue de nuit, cela m’aurait presque arraché un éclat de rire, ce pyjama grotesque à rayures, et dire que je n’avais pas d’appareil photo avec moi, quel con !
Je ne savais pas que les « ectoplasmes voyageurs temporels » dans mon genre dormaient, je me suis assoupi…
On se laisse embarquer dans cette histoire frisant le fantastique par un Petrosky au mieux de sa forme romanesque. Une manière de révéler les dessous d’un événement historique qui n’a pas fini de livrer son énigme…
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