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Quatrième de couverture:
Dans une maison des beaux quartiers de Tokyo, Yoshitaka Mashiba annonce froidement à son épouse Ayané qu'il va la quitter car elle ne lui a pas donné d'enfant. Il a rencontré une autre femme et veut reprendre sa liberté. Elle décide alors de partir passer quelques jours chez ses parents à Sapporo.
Le surlendemain, on retrouve le cadavre de Yoshitaka gisant dans son salon à côté d'une tasse de café renversée. L'inspecteur Kusanagi et son équipe sont dépêchés sur les lieux, et la charmante veuve rentre de Sapporo. Il est rapidement établi que le café bu par Mashiba contenait de l'arsenic. Soupçonnant Ayané Mashiba, la collègue de Kusangi prend alors contact avec le physicien Yukawa, qui a déjà aidé la police dans le cadre d'affaires apparemment insolubles, car il lui semble que les sentiments de Kusanagi pour la suspecte sont de nature à l'égarer.
Au fil de cette énigme pleine de nuances, séduction et déduction se livre une joute délicieuse qui fait tout le charme de ce roman couronné du prix Naoki, l'un des plus prestigieux au Japon.
J'avais beaucoup aimé La Maison où je suis mort autrefois de cet auteur et j'en garde un très bon souvenir ! Par contre, je me souviens avoir démarré celui-ci sans qu'il me happe complètement et je l'ai abandonné... Ta chronique me donne envie de lui laisser une seconde chance ;)
RépondreSupprimerMerci Valentine, mais si tu n'as pas aimé au départ je ne suis pas certaine que cela change maintenant.
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